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| - Catégorie:Citation Catégorie: La Grammaire Catégorie: Labiche Catégorie: 1867 Catégorie: français Catégorie: orthographe Eugène Labiche et Alphonse Jolly, La Grammaire (vaudeville), scène 6 (source): CABOUSSAT, lisant. — «Messieurs et chers collègues, l’agriculture est la plus noble des professions…» (S’arrêtant.) Tiens! tu as mis deux s à profession? BLANCHE. — Sans doute… CABOUSSAT, l’embrassant. — Ah! chère petite!… (A part.) Moi, j’avais mis un t… tout simplement. (Lisant.) «La plus noble des professions.» (Parlé.) Avec deux s. (Lisant.) «J’ose le dire, celui qui n’aime pas la terre, celui dont le cœur ne bondit pas à la vue d’une charrue, celui-là ne comprend pas la richesse des nations!…» (S’arrêtant.) Tiens, tu as mis un t à nations? BLANCHE. — Toujours. CABOUSSAT, l’embrass
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abstract
| - Catégorie:Citation Catégorie: La Grammaire Catégorie: Labiche Catégorie: 1867 Catégorie: français Catégorie: orthographe Eugène Labiche et Alphonse Jolly, La Grammaire (vaudeville), scène 6 (source): CABOUSSAT, lisant. — «Messieurs et chers collègues, l’agriculture est la plus noble des professions…» (S’arrêtant.) Tiens! tu as mis deux s à profession? BLANCHE. — Sans doute… CABOUSSAT, l’embrassant. — Ah! chère petite!… (A part.) Moi, j’avais mis un t… tout simplement. (Lisant.) «La plus noble des professions.» (Parlé.) Avec deux s. (Lisant.) «J’ose le dire, celui qui n’aime pas la terre, celui dont le cœur ne bondit pas à la vue d’une charrue, celui-là ne comprend pas la richesse des nations!…» (S’arrêtant.) Tiens, tu as mis un t à nations? BLANCHE. — Toujours. CABOUSSAT, l’embrassant. — Ah! chère petite!… (A part.) Moi, j’avais mis un s tout simplement!… Les t, les s… jamais je ne pourrai retenir ça! (Lisant.) «La richesse des nations…» (Parlé.) Avec un t…
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