About: Bridge hors piste (mes écrivains préférés du siècle dernier)   Sponge Permalink

An Entity of Type : owl:Thing, within Data Space : 134.155.108.49:8890 associated with source dataset(s)

Aléatexte (ou zapping papier) : la première partie de cet ouvrage est construite pour être lue de façon aléatoire. Vous ouvrez au hasard l'une des trente premières pages et, selon votre curiosité, vous vous rendez ou non aux années indiquées par (cf. 19xx). Chaque lecteur aura alors effectué un parcours différent avant de prétendre avoir appréhendé ce livre au titre volontairement sibyllin. Mon but : vous donner l'envie d'exprimer vos passions aussi bien en-deHORS qu'à l'intérieur du jeu (LUDE) de BRIDGE. 1907b: C'est cette année qu'est publiée cette référence historique PCKT

AttributesValues
rdfs:label
  • Bridge hors piste (mes écrivains préférés du siècle dernier)
rdfs:comment
  • Aléatexte (ou zapping papier) : la première partie de cet ouvrage est construite pour être lue de façon aléatoire. Vous ouvrez au hasard l'une des trente premières pages et, selon votre curiosité, vous vous rendez ou non aux années indiquées par (cf. 19xx). Chaque lecteur aura alors effectué un parcours différent avant de prétendre avoir appréhendé ce livre au titre volontairement sibyllin. Mon but : vous donner l'envie d'exprimer vos passions aussi bien en-deHORS qu'à l'intérieur du jeu (LUDE) de BRIDGE. 1907b: C'est cette année qu'est publiée cette référence historique PCKT
dcterms:subject
abstract
  • Aléatexte (ou zapping papier) : la première partie de cet ouvrage est construite pour être lue de façon aléatoire. Vous ouvrez au hasard l'une des trente premières pages et, selon votre curiosité, vous vous rendez ou non aux années indiquées par (cf. 19xx). Chaque lecteur aura alors effectué un parcours différent avant de prétendre avoir appréhendé ce livre au titre volontairement sibyllin. Mon but : vous donner l'envie d'exprimer vos passions aussi bien en-deHORS qu'à l'intérieur du jeu (LUDE) de BRIDGE. Je mets donc la totalité de mon texte dans le domaine public. N'hésitez pas à élaguer au maximum les paragraphes qui vous intéressent peu ou prou. Cela fera de la place pour suivre votre propre piste en y ajoutant vos pôles d'intérêt et/ou vos conventions préférées. Attention cependant de vous modérer lorsque y recopierez des auteurs car seuls ceux décédés depuis longtemps sont vraiment dans le domaine pubic. Pour les autres, la loi n'autorise que les courtes citations... sans en préciser vraiment la longueur. C'est à la fois en tant que bridgeur terriblement déçu que la majorité des pratiquants français aient à présent atteint le troisième âge mais aussi en tant que nostalgique du vingtième siècle que j'ai élaboré ce projet. Il s'agit d'une anthologie, entrelacée de considérations bridgesques, d'extraits non seulement de romans mais de toutes sortes de livres qui m'auront marqué pendant le siècle que mes grands-parents ont parcouru plus longuement que moi-même... mais que j'ai fini par considérer comme étant totalement le mien. J'enrage de me dire que mes arrière-petits-enfants seront bien mieux à même de survoler le siècle actuel que moi qui étais déjà si peu à l'aise avec les magnétoscopes et qui suis à présent incapable d'enregistrer quelque son ou image que ce soit... à part difficilement une cassette audio ;-))) 1900 : Première parution de l'annuel (cf. 1963) Guide Rouge, alors appelé Guide Michelin, initialement offert et non vendu aux seuls clients de la marque de pneumatiques. 1904 : Frédéric Mistral (1830-1914) n'est souvent indiqué que comme un Français ayant reçu le Prix Nobel (cf. Disclaimer à mi-siècle) pour son œuvre littéraire. En fait, il a surtout écrit en provençal, langue chantante aux accents toniques plus appropriés aux oreilles du jury scandinave de cette année-là ;-))) 1907b: C'est cette année qu'est publiée cette référence historique sur les origines du jeu ; certes, cet extrait du quotidien Oakland Tribune du deux février 1907 ne semble pas si ancien que cela ; cependant, le journaliste californien fait remonter l'ancêtre du jeu bridge en Allemagne aussi loin que 1860, donc bien avant cette référence plus connue .../... toward the end of the 19th century, a newcomer of obscure and disputed origin appeared in England from beyond the Channel. Called Russian whist or biritch (soon anglicized into bridge), the new game differed from standard whist in two ways : the dealer named trumps, or passed the privilege across the table to his partner, and the dealer's partner became dummy, laying down his hand for all to see. London whist players who tried the new game soon noted that the exposed hand made possible much greater subtlety and ingenuity of play. 1909 : Le Sang du pauvre, texte depuis longtemps dans le domaine public .../... Forcé de travailler une nuit, il avait tout à coup cessé de voir, comme si les deux grosses lampes qui l’éclairaient s’étaient brusquement éteintes. Attribuant le phénomène à un excès de fatigue, il s’était couché à tâtons et le matin, la clairvoyance revenue, s’était borné à en parler avec insouciance, affectant de croire que c’était une chose très simple qui ne valait pas qu’on s’en mît en peine. Silencieusement, Clotilde se prépara à souffrir. Bientôt, en effet, les troubles reparurent. Un spécialiste consulté prononça que tout travail d’enluminure devait être interrompu, qu’il fallait même y renoncer absolument, sous peine de cécité. Ce fut un très rude coup. Léopold aimait passionnément son art, cet art qu’il avait créé, ressuscité, qu’il avait forcé de reparaître vivant et jeune, quand on le croyait si mort que le souvenir même s’en effaçait. Elle était tellement à lui, cette peinture qui remontait l’escalier des siècles et qui ressemblait aux rêves d’un enfant profond ! Qu’allait-il faire maintenant ? Depuis plusieurs années, il ne subsistait que de son pinceau et n’avait jamais songé une minute à « réaliser des économies ». Ah ! oui, des économies ! Les puissances inférieures, les salopes et implacables puissances dont se prévaut, contre les cœurs solitaires, l’identique bassesse du Nombre, ne pardonnent pas. Elles ont des représailles sûres et mortelles. Léopold cessant de peindre, la misère se jeta sur lui, comme les bêtes gluantes sur un beau fruit mûr que le vent a détaché de sa tige. 1917b: Autre Révolution (cf. 1989) que celle d'Octobre en Russie : l'invention du Contre Américain (cf. 1932) que l'on préfèrera peu à peu appeler le contre d'appel. 1918 : En tapant sur le moteur externe de recherche de Google les cinq mots Catalogue des bibliothèques municipales spécialisées, l'on accède à un moteur de recherche interne où, via l'unique mot-clé Lanrodec, l'on retrouve plusieurs nouvelles inspirées par Sherlock Holmes, à l'exception de la dernière, adaptation surréaliste du court roman sorti en 1918 sous le titre unique The Horror of the heights, mais successivement traduit par : 1. * L'Horreur des altitudes 2. * L'Horreur du plein ciel 3. * Le Gouffre des hauteurs Le recueil accessible via la BILIPO comporte surtout une parodie signée par mon alter ego et dont voici l'épilogue titré L'Exil : Holmes a cédé à la jalousie de Watson en se séparant de la petite-fille de Madame Hudson sa logeuse. .../... Au village, telle Manon des Sources, je suis assez mal considérée. Les commères m'ont même longtemps surnommée la sorcière. Il semble qu'un témoin m'ait vue quand j'ai fini par me donner aux trois gars. Je suis descendue hier au village pour quelque emplette, et pour y apprendre mon nouveau surnom, la chatte des Baskervilles. 1920 : Hugh Lofting (1886-1947) crée cette année-là le personnage du Doctor Dolittle, précurseur de l'art de murmurer aux oreilles des animaux. L'année de sa mort sert à calculer quand la totalité de la dizaine de suites qu'il en a données tomberait dans le domaine public, en l'occurrence en 1996. Il ne semble pas que ce fut en anticipant un tel vieillissement de ses lecteurs que Hugh Lofting ait indiqué dans une interview qu'il avait été longtemps choqué que ses écrits aient été considérés comme destinés aux... juvéniles au point de se demander si, par symétrie, il ne fallait pas créer une littérature pour les... séniles. 1923 : Le livre autrichien est beaucoup moins connu que le film de Disney (cf. Disclaimer) et raconte également la lente évolution de l'enfance vers la vie adulte d'un animal attachant. Son nom se prononce facilement dans toutes les langues : Bambi. 1926 : Moravagine est un roman construit autour de la schizophrénie. Il est moins célèbre que le film Psychose ou la série Hulk de Kirby. Il est cependant intéressant lorsque l'on en connaît la genèse : son auteur a mis dix ans à le rédiger ; dix années pendant lesquelles il a tenté, et réussi semble-t-il, de s'affranchir du double sombre qui cohabitait en lui. 1928 : Storia d’Italia dal 1871 al 1915. 1930b: Tous les passionnés de jeux de société savent que la Grande Dépression allait coïncider avec le succès planétaire du Monopoly mais peu de Français ont alors été aussitôt conscients du véritable démarrage du bridge cette année-là de l'autre côté de l'Atlantique. Les fanfaronnades d'un anglais excentrique, le colonel Walter Buller (1887-1938), avaient sorti le bridge des cercles encore assez confinés de l'époque pour placer le jeu sous le feu des projecteurs. Le défi anglais éveillait la fibre patriotique yankee qui n'aurait pu supporter que se réalise l'affront promis par leurs anciens colons. Pendant ces longues semaines avant et pendant le match, un nombre considérable de joueurs de tous les milieux sociaux se mirent ainsi à commencer à jouer au bridge. Lorsque l'on a fini par apprendre que l'équipe anglaise était largement battue, la gloire en rejaillit sur Ely Culbertson (1891-1955) qui, d'après caderbooks.com, aura été le seul auteur de bridge à figurer, en commençant par son Blue Book, trois années consécutivement parmi les dix best-sellers de l'année en catégorie non-fiction. Il n'utilisait pas l'évaluation par perdantes (cf. 1939), ni par points (4, 3, 2, 1), mais celle par honor tricks, car il avait déterminé que parmi les treize levées faites dans chaque contrat un peu plus de huit découlaient des honneurs eux-mêmes et que les restantes, moins quantifiables, étaient d'après lui en proportion directe de la force initiale de chaque main. 1931b: Année de la sortie plutôt confidentielle du premier livre exposant en page 48, sans la nommer, la méthode de bridge du Canapé (cf. 1968). Aucune biographie ne semble accessible sur son auteur : Ognianovich (parfois orthographié Oganiovitch), Cluny éd., Le Bridge, 193 pages. 1932b: Pas de biographie non plus pour Eric Williams, qui publie via Hachette Le Bridge tel qu'on le joue aujourd'hui, au vocabulaire savoureux : il refuse le terme d'honor trick (cf. 1930) et propose à la place la surréaliste levée valeur et, surtout, pour éviter le déjà populaire bridge-contrat, il distingue le plafond proprement dit du bridge-plafond-vulnérable (sic). Plus classiquement pour son époque, il appelle Schelem, le chelem, et Contre Américain, le contre d'appel (cf. 1917). 1936 : Prix Goncourt (cf. Disclaimer) pour L'Empreinte du dieu. 1939b: Le LTS (Losing Trick System), compte par levées perdantes en français, a droit a un livre signé par son principal promoteur depuis déjà quelques années, Dudley Courtenay (1892-19??), The Losing Trick Count (as used by the leading contract bridge tournament players, with examples of expert bidding and expert play), Methuen éd. ISBN B0008878KO. On y considère que ni les Valets, ni les dix ne sont des honneurs et l'on compte autant de perdantes qu'il y a d'honneurs manquants dans chaque couleur pour un maximum de douze perdantes. Dans ce système d'évaluation s'opposant à celui alors dominant par honor tricks (cf. 1930), seul l'As peut empêcher qu'il y ait une perdante dans une couleur singleton et, avec un doubleton, la Dame, accompagnée ou non, n'entre pas en ligne de compte. Dans la même logique qu'une ouverture face à une ouverture donne la manche, il faut 7 + 7 = 14 perdantes pour la demander ; les deux autres nombres-clés étant 16 pour un score partiel et 12 pour le chelem (après la vérification classique des contrôles). 1940 : Contrairement à son grand rival Edwin Muir qui pensait qu'une bonne poésie écossaise ne pouvait être rédigée qu'en langue anglaise, Hugh MacDiarmid à la tête du mouvement nationaliste des Lallans donnait l'exemple du retour aux dialectes locaux tempéré, dans son anthologie The Golden Treasury of Scottish Poetry publiée en 1940, par quelques textes en gaëlique, voire en latin. 1941 : Parution de La Vie d’Alphonse Daudet par son fils. 1942 : Paul Eluard était bien plus engagé politiquement lorsqu'il publie alors son poème Liberté (J'écris ton nom) que dans l'apogée de sa période dadaïste : La Terre est bleue comme une orange. 1947b: Pierre Albarran (1894-1960) présente ainsi son livre Souvenirs et Secrets édité en 1947 par Le Triboulet - Monaco : En 1936, j'ai commis, de complicité avec mon ami, Robert de Nexon, un premier crime envers les bridgeurs. J'ai écrit un livre de pure technique de bridge. L'année dernière, j'ai récidivé et aggravé mon cas en écrivant (le Canapé) 200 pages rébarbatives et ennuyeuses sur les seules nominations des jeux bicolores. Cela suffit amplement pour le moment. Ainsi vais-je essayer aujourd'hui de vous faire profiter de ma longue expérience sans trop vous ennuyer .../... Soixante ans après, il faut bien avouer que ces lignes ont servi de base à la confection du présent ouvrage. En effet, chaque livre de bridge n'apporte que quelques pages vraiment nouvelles par rapport à ceux qui l'ont précédés. C'est aussi bien le cas en 2007. Seule différence avec Albarran, au lieu de multiplier les donnes certes savoureuses mais finalement anecdotiques, l'on a ici carrément préféré parler d'autre chose, en l'occurrence les cinquante titres de livres survolant le siècle qui a vu l'essor, et un peu hélas le déclin, du jeu de bridge. INTERlude (1/3), DISCLAIMER : Afin de sortir quelque peu de la mode des best of lancée par TF1, j'ai décidé d'exclure de cette rétrospective les auteurs : - titulaires d'un prix Nobel de Littérature... sauf Mistral (cf. 1904), - primés au Goncourt... sauf Van der Meersch (cf. 1936), - dont les œuvres ont débouché sur des téléfilms et/ou des séries télévisées... sauf Doyle (cf. 1918), - encore vivants après le vingtième siècle... sauf Sharif (cf. 1982), - ayant rédigé au vingtième siècle mais publiés ensuite... sauf une nouvelle d'Agatha Christie volontairement toujours inédite (cf. 20??), - adaptés au moins une fois au théâtre ou au cinéma... sauf Bambi (cf. 1923), - admis à l'Académie Française... sauf la voix de Londres après l'appel du 18 juin 1940 : Maurice Schumann (cf. 1978). L'avantage de telles exclusions, à condition que je ne commette moi-même ni erreur ni omission, c'est que le lecteur pourra alors se dire : - Tiens ! je pensais pourtant bien qu'Untel avait été adapté ou avait remporté le Goncourt. L'inconvénient : je me prive d'avoir pu inclure nombre de mes chouchous tels que The First men in the Moon, The Avengers, 1984, le Meilleur des mondes, Variété Andromède, Le Cycle de Fondation, La Nuit des temps, La Planète des singes... ce qui est d'autant plus frustrant que les adaptations de SF sont rarement réussies. INTERlude (2/3), SYNTHÈSE DU CAYENNE (cf. 1907) ou Canapé en défense en précisant d'abord que l'on retrouvera le détail des zones de force de ce système via : Lorsque le partenaire a déjà annoncé une couleur, le Cayenne diffère peu du Canapé en attaque : si la main ne permet pas de soutenir directement avec quatre cartes, le Contre (ou Surcontre sur le Contre adverse) n'est jamais spoutnik mais indique au moins trois cartes dans la couleur du partenaire avec une force qui peut être assez faible à partir de huit perdantes (cf. 1939). En revanche, il convient d'être nettement plus fort pour pratiquer le cue-bid dans cette situation 1. * d'abord parce qu'il place les enchères à un niveau nettement supérieur, voire dangereux, 2. * d'autre part, car ce cue-bid met les adversaires à l'affut d'une présomption de misfit : les contres de pénalité sont fréquents car cette enchère symétrique du Contre que l'on a baptisé Delmouly indique moins de trois cartes dans la couleur du partenaire. Il faudra donc bien réfléchir avant d'utiliser le cue-bid d'autant que le fait de passer laisse les enchères ouvertes pour laisser le partenaire exprimer son Canapé (cf. 1968) au palier de sécurité. Là où ce Cayenne sort vraiment des sentiers battus c'est lorsque le partenaire n'a encore rien dit car l'intervention par une couleur ne peut se faire qu'avec une couleur déclarable (cf. 1968) quatrième. Le système a alors besoin d'une autre enchère si ce n'est pas le cas. Arbitrairement, le Cayenne demande de CONTRER AVEC TROIS CARTES DANS LA COULEUR EN-DESSOUS de celle de l'adversaire (pique étant alors en-dessous de trèfle) et, comme vu à l'instant, avec un jeu également plus fort, de réserver le cue-bid avec zéro, une ou deux cartes dans cette même couleur en-dessous. Plutôt pour des raisons éthiques que d'efficacité, l'on a cessé d'utiliser le Cayenne contre les ouvertures d'un Sans-Atout et au-delà. Le Contre est donc classiquement d'appel face aux barrages et il ne reste plus qu'à se mettre d'accord avec le partenaire sur telle ou telle variante d'un Dont ou d'un Landy plus ou moins sournois ;-))) INTERlude (3/3) INDEX des non-bridgeurs : 1997 : Pierre Barbet (1925-1995) ; 1909 : Léon Bloy (1846-1917) ; 1926 : Blaise Cendrars (1887-1961) ; 20?? : Agatha Christie (1890–1976) ; 1928 : Benedetto Croce (1866-1952) ; 1941 : Lucien Daudet (1883-1946) ; 1923 : Walt Disney (1901-1966) ; 1918 Conan Doyle (1859–1930) ; 1989 : Loup Durand (1933-1996) ; 1942 : Paul Eluard (1895-1952) ; 1998 : Joseph Heller (1923-1999) ; 1926 : Alfred Hitchcock (1899-1980) ; 1958 : Edgar Hoover (1895-1972) ; 1926 : Jack Kirby (1917-1994) ; 1920 : Hugh Lofting (1886-1947) ; 1940 : Hugh MacDiarmid (1892-1978) ; 1900 : André Michelin (1853-1931) ; 1904 : Frédéric Mistral (1830-1914) ; 1940 : Edwin Muir (1887-1959) ; 1923 : Felix Salten (1869-1945) ; 1999 : Nathalie Sarraute, la pionnière du nouveau roman, (Russie, 1900 – Paris, 1999) ; 1981 : Clifford D. Simak (1904-1988) ; 1986 : Peter Taylor (1917–1994) ; 1936 : Maxence Van der Meersch (1907-1951). 1958 : Avant de traquer les communistes, il avait donné beaucoup de publicité à ses captures de gangsters au temps d'Al Capone, mais il est notoire que le grand chef du FBI de 1924 à sa mort a fait rédiger par des nègres (cf. 1989) ses ouvrages tels que Masters of Deceit : The Story of Communism in America and How to Fight It. Kessinger Publishing. ISBN 1-4254-8258-9. 1963b: Seule la partie bridge du Quid est abordée ici. Cette année 1963, comme pour le Michelin (cf. 1900), est donc celle de sa première parution. Plus vous connaissez le jeu, et plus vous découvrirez à quel point ce fourre-tout encyclopédique fourmille d'erreurs. Le drame, contrairement à d'autres encyclopédies participatives, c'est qu'elles se reproduisent d'une édition à l'autre. Il arrive même qu'une recopie fautive transforme une bonne information en une mauvaise l'année suivante. Sans vous donner les réponses, je vous laisse en déceler le pourcentage important dans cette liste limitée à quelques bridgeurs dont le Quid donnait au moins une date biographique dans son édition en ligne au deux février (cf. 1907) 2007 : BACHERICH René (1906-6). BELLADONA Giorgio (1923-95). BOULENGER Jean-Michel (1934-86). CULBERTSON Ely (Amér. 1891-1955). DESROUSSEAUX Christian (1965-95) ; Gérard (1927-89). JAIS Pierre (1913-88). De NEXON Robert (1891-1967). SOLOWAY Paul (Amér., né 1909). 1968b: La meilleure définition du Canapé (cf. 1931) est signée par l'auteur du Que-sais-je ? consacré au jeu de bridge aux Presses Universitaires (cf. 1991) de France éd. .../... jeux bicolores dont les deux couleurs n'ont pas la même longueur (bicolores 5/4 et 6/4) s'ouvrant le plus souvent de la couleur courte .../... à condition qu'elle soit déclarable (minimum pour une couleur déclarable deux honneurs comprenant au moins la Dame : D 10 X X) sinon le jeu est traité comme unicolore. (double extrait du Dictionnaire du bridge, 1968, par Georges Versini) 1978b: Parution d'Angoisse et certitude, couronné du Grand Prix Catholique de Littérature, par Maurice Schumann (1911-1998), sans doute le seul académicien (cf. Disclaimer) bridgeur à avoir été (à Houlgate) président de club. Voici deux extraits du livre (cf. 1982) de Sharif. .../... J'étais très impressionné ; il était alors ministre des affaires étrangères et moi-même j'étais ressortissant égyptien en France. Mon ministre ! C'était important pour moi. (Le tournoi du petit club normand se déroule et la voix de Londres a déjà commis plusieurs boulettes) .../... Je commence à m'énerver vraiment. Il y a de quoi : on ne coupe pas mon As de pique avec une Dame d'atout maîtresse. Enfin, nous arrivons à une donne où les adversaires jouent trois Sans-Atout et, à un moment, je n'ai plus de carreau et je défausse le neuf de trèfle. Naturellement il joue... pique ! Et je commence à me fâcher vraiment. Il me répond : - Mais je croyais que c'était mieux de jouer pique. - M. le ministre, quand, moi, je veux que vous jouiez trèfle, vous êtes prié de jouer trèfle... Vous n'avez pas à penser. Quand vous jouez avec moi --- mon ton restait calme, mais la colère m'emportait et je ne mesurais pas vraiment mes propos --- vous n'avez qu'à suivre comme une petit mouton les cartes que je vous mets sur la table. Quand je mets le neuf de trèfle, vous jouez trèfle, et vous ne jouez pas pique ! - Mais je croyais que... - Vous n'avez rien à croire, vous n'avez rien à penser, vous n'êtes pas équipé pour penser. ISBN 2213010994. 1981 : Alors que sort le roman Project Pope, les tenants des prophéties de Nostradamus établissent un lien entre l'élection le dimanche 10 mai du premier Président socialiste de la Cinquième République et l'attentat auquel a échappé de peu le pape Jean-Paul II le 13 mai. 1982b: Le plus célèbre des bridgeurs encore vivants (cf. Disclaimer), Omar Sharif, né en 1932, est surtout connu du grand public pour ses grands rôles comme le Dr Jivago. Ma vie au bridge, paru en 1982 chez Fayard, est un livre avant tout technique, parfois trop pour le joueur moyen, mais qui contient aussi quelques anecdotes. Celle sur Maurice Schumann (cf. 1978) pourrait donner l'impression que la star manque de patience mais, à chaque fois que je l'ai vu (club de l'avenue Montaigne, Deauville, Mondial Generali, champs de course...), j'ai au contraire été frappé par sa grande courtoisie. En 1997, alors que le service d'ordre était débordé à Orly car la France ramenait pour la seconde fois la Bermuda Bowl (cf. 1995) conquise à Hammamet, il a pris très calmement le fait d'être harcelé par des chasseurs d'autographes. Anecdote plus savoureuse quand, après avoir évoqué les très jeunes filles qui se cachaient parfois sous le lit de sa chambre d'hôtel, l'acteur de cinéma égyptien d'origine syrienne nous narre, comme si nous y étions, l'une des plus belles peurs de sa vie. Une bridgeuse d'un certain âge, armée d'un revolver, lui avait... intimé l'ordre de lui faire l'amour. Son embarras fut à son apogée, si l'on peut dire par antiphrase, lorsque la présence de cette arme dans la main de cette extravagante fan lui coupa tous ses effets. 1986 : Gagnant du Pulitzer l'année suivante, le roman Rappel à Memphis campe un Américain moyen appelé à la rescousse par ses deux sœurs non mariées afin de tenter d'éviter le remariage de leur père octogénaire avec une jeune aventurière. 1989 : Les historiens ne commencent ni ne finissent les siècles à date fixe, tel celui de Louis XIV qui devra attendre la mort du Roi Soleil pour s'achever. On a de plus en plus tendance à considérer, si ce siècle-ci démarre avec l'effondrement des tours jumelles de New-York, que le précédent s'est brusquement terminé par la chute du mur de Berlin, donc en 1989. L'écrivain retenu pour ce millésime ne correspond pas non plus à la Révolution (cf. 1917) Française de 1789 mais plutôt à une véritable révolution dans le domaine des lettres hexagonales. En effet contrairement aux Américains (cf. 1958) cela ne se faisait pas de citer publiquement le nom de nègres éventuels. C'est pourtant ce qu'a fait sournoisement (pendant le générique de fin de son émission littéraire Apostrophes) Bernard Pivot à l'encontre de Loup Durand (1933-1996). Le Jaguar signé en 1989 est bien de lui et ne doit donc pas être confondu avec Le Guépard de 1963 avec les vedettes franco-italiennes Delon et Cardinale. 1991b: réédition de La Théorie mathématique du bridge sortie en 1940, Jacques Gabay éditeur. Émile Borel (1871-1956), ancien ministre de la Marine, est l'un des rares universitaires (cf. 1968) cités dans le dictionnaire thématique. Avec René Baire et Henri Lebesgue, il était parmi les pionniers de la théorie de la mesure et son application à la théorie des probabilités. On lui doit notamment le paradoxe de Borel et le concept d'ensemble borélien a été nommé en son honneur. Il avait également édité un certain nombre d'articles de recherches sur la théorie des jeux avant son véritable monument sur le jeu de bridge en collaboration avec André Chéron. 1994 : Nulle source bibliographique pour le néologisme créé cette année-là : arobasque proposé pour traduire en français l'abréviation de l'espagnol arroba (@). J'avais été très amusé par les étymologies fantaisistes proposées dans un groupe de discussion en langue anglaise. La meilleure àmha étant "arrow back", autrement dit une flèche empennée vue... par l'arrière lorsqu'elle vient d'être tirée par un archer. Histoire de contrecarrer (et de troller, il faut bien le dire) les explications ampoulées axées sur le b@s de c@sse, j'avais donc forgé de toute pièce arobasque en prétendant que c'était un mot très ancien calqué sur l'étymologie d'arabesque évoquant une courbe gracieuse. Altavista et Dejanews.com étaient les deux principaux moteurs de recherche de l'époque, et, avant ce siècle, ma petite facétie n'y aura jamais dépassé les quelques dizaines d'occurrences. Le déclenchement de sa subite explosion de mode (quelques milliers de hits si l'on compte Google images) provient paradoxalement du refus par le Comité Théodule chargé de figer quelques termes propres à Internet. Mon acception (parmi quelques-unes dont arobasse alors plus populaire) y avait été examinée très sérieusement jusqu'à l'exclamation pleine de bon sens d'un membre influent de la Commission. - Arobasque... pour le @... et alors... pour le ß des Allemands... on va dire béret basque ? Par la suite, j'ai suivi de près l'évolution d'autres néologismes, pas tous de moi, tels que bécassitude, islamo-fascisme, mésoplanète, agaro-messianisme etc. mais aucun n'aura eu le même succès que bravitude en janvier 2007. 1995b: Un livre d'un champion américain, très peu diffusé en Enrope vu son caractère quasi blasphématoire, défraie la chronique au moment du Championnat du Monde (Bermuda Bowl) se disputant à Pékin. Peu de mois auparavant, on avait déploré la disparition de Giorgio Belladonna, le bridgeur dont le record du nombre d'années en tête du classement mondial WBF ne sera sans doute jamais battu. Très probablement par jalousie, ce livre à scandale prétendait qu'il trichait. Curieusement, ce même Américain avait disputé moults Mondiaux contre Giorgio mais ne lui avait jamais rien dit en face. L'essentiel de son argumentation paraphrase Le Loup et l'agneau de La Fontaine (si ce n'est toi, c'est donc ton frère) prétendant, puisque Belladonna s'était parfois retrouvé dans des équipes de six dont on a prouvé par la suite qu'une autre paire que la sienne trichait, c'est qu'il trichait lui-même ! ! ! D'autres médias européens ont aussitôt fouillé les poubelles pour exhumer une très vieille donne prouvant que le noyau de la Squadra Azzurra trichait vraiment. Il s'agit d'une donne, en flanc, où, en salle fermée, un Italien entame du Roi avec RD sec alors que son partenaire détient l'As troisième. Pour ce chroniqueur de mauvaise foi, le fait de prendre à la seconde levée la Dame de l'As pour faire couper (seule façon de faire chuter) prouvait incontestablement que Belladonna (qui était en fait en salle ouverte) disposait de moyens illicites pour communiquer avec son partenaire. En réalité, avec RD non sec, les conventions du flanc italien imposaient d'entamer de la Dame. Le doubleton d'honneurs secs était donc nettement marqué et il était donc malhonnête de les accuser de la sorte sur cette donne. Les quatre jeux en ont été publiés dans L'Hommage à Giorgio Belladonna sorti cette année-là et accessible à la Bibliothèque Nationale sous le numéro de notice FRBNF35799155. Moins facilement accessible, et c'est pourquoi je me permets de le reproduire ici, cet extrait de l'article rédigé suite à une rencontre avec son fils Renato par Agnès Fabre dont voici une photo récente. .../... En 1995, souffrant, son état ne lui permettant pas de se déplacer, il organise une partie de bridge chez lui, en famille. Flavia, sa belle-fille, visiblement très émue à l’idée de s’asseoir face à ce mythe du bridge, perd tous ses moyens. De ses 9 levées de tête dans un contrat à 3SA, elle réussit péniblement 7 levées et son beau-père conscient de sa fébrilité, de la rassurer : « tu ne joues pas avec Belladonna, tu joues avec Giorgio ! ». Hospitalisé quelques semaines plus tard, il doit se faire remplacer dans une épreuve à laquelle il devait participer avec son fils. Après la compétition, Renato rend visite à son père et lui soumet plusieurs problèmes qui se sont produits à la table : « sur 6 Piques avec cette main qu’est-ce tu dis ? ». Sans aucune hésitation, le champion italien, ajoutant le geste à la parole pour appuyer sa réponse, lance fermement : « 7 PIQUES ! ». Ce seront ses dernières paroles. L’un des plus grands joueurs de bridge de tous les temps s’éteint dans la nuit sur ce grand chelem. 1997 : Du plus traduit en Amérique parmi les écrivains français de science-fiction, un recueil de morceaux choisis : Les Cités de l'espace regroupant des textes parus isolément entre 1973 et 1985 et signés de différents pseudonymes de Pierre Barbet. 1998 : Joseph Heller, écrivain anglais spécialiste de la Seconde Guerre Mondiale, aura attendu l'année précédent sa mort pour sortir Now and then, ses mémoires. Il y retrace son enfance et les évènements qui l'ont mené dans l'artillerie britannique au poste de bombardier. 1999 : Mort de la mère de la journaliste Claude Sarraute. 20?? : Transférée en 1974 au St Martin's Theatre, une intrigue policière est jouée sans interruption depuis 1952 mais les acteurs se renouvellent à présent chaque année. Je ne l'ai pas vue et je risque même de ne jamais lire la nouvelle d'où cette pièce est adaptée (cf. Disclaimer) car elle ne sera pas publiée tant qu'elle continue à battre tous les records de longévité pour une pièce londonienne. Sans doute craint-on que la révélation du nom du meurtrier ne fasse venir moins de monde au théâtre ! ...♠...♥...♣...L'Aléatexte se termine ainsi mais, en 1985, pour les vingt-cinq ans de la mort de Pierre Albarran, j'avais déjà rassemblé suffisamment de matériaux pour le faire revivre. Je n'avais aps encore inventé le Cayenne même si quelques uns de ses principes étaient déjà inclus dans mon adaptation personnelle de son Canapét. IL n'y avait alors ni le cue-bid à moins de trois cartes couplé au Contre Delmouly, ni le Passe fitté couplé au Sans-Atout négatif, ni le compte par perdantes tellement plus efficace en cas de fit. En revanche, j'avais déjà théorisé, à vrai dire plutôt pour des raisons de pédagogie que d'efficacité, l'abandon du Spoutnik puisque je considérais, si l'ouvreur n'avait pas annoncé de couleur quatrième, qu'il était trop peu fréquent de manquer un fit 4-4 et je généralisais donc la changement de couleur forcing par cinq cartes face à mes ouvertures toujours au moins quatrièmes au niveau de un. Plus accessoirement, inspiré par les soutiens forcing au niveau de trois du Standard américain de Goren/Culbertson, j'avais remarqué que trois Sans-Atouts n'avait alors plus de raison d'être en cas de fit mineur, et donc qu'il fallait lui donner une signification lorsque l'on amorce les cue-bids de contrôle en commençant par le plus économique ; j'avais un moment pensé, car la présence de neuf atouts est importante, que ce trois Sans-Atouts allongerait la couleur ; finalement, j'ai décidé que de sauter cette enchère après, par exemple, Un Pique - Trois Piques, déniait au moins Roi-Valet ou As - 10 dans la couleur d'atout. ...♠...♥...♣... je limite ainsi à environ la moitié le nombre d'auteurs hors-bridge, prévu initialement pour... cinquante. Cependant, pour ne pas transformer le livre prévu en une simple plaquette, voire en quelques photocopies distribuées à la va-vite, je me replonge dans l'un de mes anciens projets jamais publié : en 1985, pour les vingt-cinq ans de la mort de Pierre Albarran, j'avais déjà rassemblé suffisamment de matériaux pour le faire revivre... lui ainsi qu'une adaptation personnelle de son Canapé, donc bien avant le Cayenne brossé plus haut. Je n'y avais pas encore incorporé le cue-bid à moins de trois cartes couplé au Contre Delmouly, ni le Passe fitté couplé au Sans-Atout négatif, ni le compte par perdantes tellement plus efficace en cas de fit ; en revanche, j'avais déjà théorisé, à vrai dire plutôt pour des raisons de pédagogie que d'efficacité, l'abandon du Spoutnik puisque je considérais, si l'ouvreur n'avait pas annoncé de couleur quatrième, qu'il était trop peu fréquent de manquer un fit 4-4 et je généralisais donc la changement de couleur forcing par cinq cartes face à mes ouvertures toujours au moins quatrièmes au niveau de un. Plus accessoirement, inspiré par les soutiens forcing au niveau de trois du Standard américain de Goren/Culbertson, j'avais remarqué que trois Sans-Atouts n'avait alors plus de raison d'être en cas de fit mineur, et donc qu'il fallait lui donner une signification lorsque l'on amorce les cue-bids de contrôle en commençant par le plus économique ; j'avais un moment pensé, car la présence de neuf atouts est importante, que ce trois Sans-Atouts allongerait la couleur ; finalement, j'ai décidé que de sauter cette enchère après, par exemple, Un Pique - Trois Piques, déniait au moins Roi-Valet ou As - 10 dans la couleur d'atout. PCKT Nous sommes en 2007 et cela fait bien cinquante ans que L'Encyclpédie du bridge moderne d'Albarran est sortie (Fayard éd., 1957). Ces tous derniers temps, se sont multipliées les disparitions des grands témoins de cette époque éncyclopédique : avant tout Delmouly, qui avait en avait rédigé des dizaines de pages et que je mets au même niveau que Svarc, qui avait épousé Monette, la veuve de Pierre... Aussi Romanet, Schemeil, Bourchtoff... sans oublier, il y a un peu plus longtemps, Roudinesco. Je me dépêche d'ailleurs de recopier tout de suite le début de la Préface d'Albarran... ne serait-ce que pour éviter le reproche que j'aurais pu oublier tel ou tel nom dans l'énumération amorcée plus haut et dont Roudinesco était de loin le plus jeune. En raison du but avoué pédagogique de WikiKivres, et après avoir commis plusieurs opuscules techniques ainsi qu'un autre très sèchement historique sur le jeu de bridge-contrat, j'ai cette fois l'ambition de rédiger un texte qui puisse être accessible aux non-bridgeurs. En effet, ne pratiquant pas le jeu d'Échecs, ou si peu, j'en ai pourtant dévoré les rubriques dans différents journaux ou magazines grand public. Mon but serait atteint si une bonne partie de mes lecteurs se révélaient être des ludomanes généralistes capables, comme moi avec les Echecs, d'en zapper les quelques passages techniques obligés sans que la philosophie de l'ensemble leur échappe. Paraphrase: Comme on le rencontrera souvent par la suite, je me suis inspiré des deux principaux ouvrages autour du canapé d'Albarran ; on verra plus loin celui signé par Garrozzo, toujours vivant, et qui a remporté une dizaine de championnat du monde en jouant le Canapé.
Alternative Linked Data Views: ODE     Raw Data in: CXML | CSV | RDF ( N-Triples N3/Turtle JSON XML ) | OData ( Atom JSON ) | Microdata ( JSON HTML) | JSON-LD    About   
This material is Open Knowledge   W3C Semantic Web Technology [RDF Data] Valid XHTML + RDFa
OpenLink Virtuoso version 07.20.3217, on Linux (x86_64-pc-linux-gnu), Standard Edition
Data on this page belongs to its respective rights holders.
Virtuoso Faceted Browser Copyright © 2009-2012 OpenLink Software