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| - La version officielle, c'est ce que vous savez. Mais notre version officielle à nous, c'est que votre version officielle à vous c'est plutôt ce que vous pensez savoir. Mais ce n'est pas officiel. Vous l'aurez compris, toute la problématique de la version officielle repose sur le fait que vous n'y comprenez rien. Tout ce que l'on sait, c'est qu'elle masque une autre version, appelons-la subtilement vérité, souvent beaucoup plus substantielle (cf. illustration ci-contre). Cette vérité, perdue dans les méandres des versions officielles superposées à nos yeux hypnotisés par le charisme intrépide de la moumoute de David Pujadas, jamais n'atteint notre oreille ou notre rétine. Et comme le disait le poète « on nou di pa tous »
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| titre
| - Et maintenant deux solutions :
- Piège : Parmi ces citations, une seule n'a pas reçu l'aval du Comité de Validation des Banalités, laquelle ?
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| contenu
| - C'est bien entendu la phrase de Jean-Marie Le Pen. En effet, pour de vrai, il a dit « les chambres à gaz sont un détail de l'Histoire », ce qui n'est pas tout-à-fait pareil. Autres exemples de trucs qui furent des détails de l'Histoire mais qui pourtant ont bel et bien existé pour nous faire chier : Gérard Presgurvic ; la non-stérilité de Richard Hilton ; la noix de Caroube ; la table de 8 ; la ''bravitude de Ségolène Royal ; le 'z' dans Nietzsche ; le permis de conduire à points ; la lettre de Guy Môquet ; l'organe pénien de Jean-Édouard ; la belle-mère ; l'écran bleu ; Sofia Coppola ; les bas de jogging bleu turquoise...
- *Ou vous avez cliqué sur l'image, et cela prouve que vous n'avez rien compris au présent article.
*Ou vous ne l'avez pas fait, et c'est très certainement que vous ne l'avez pas lu. Dans ce cas nous vous haïssons.
Mais dans les deux cas vous vous êtes fait avoir : la vérité n'existe plus, elle a été remplacée par la version officielle.
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| abstract
| - La version officielle, c'est ce que vous savez. Mais notre version officielle à nous, c'est que votre version officielle à vous c'est plutôt ce que vous pensez savoir. Mais ce n'est pas officiel. Vous l'aurez compris, toute la problématique de la version officielle repose sur le fait que vous n'y comprenez rien. Tout ce que l'on sait, c'est qu'elle masque une autre version, appelons-la subtilement vérité, souvent beaucoup plus substantielle (cf. illustration ci-contre). Cette vérité, perdue dans les méandres des versions officielles superposées à nos yeux hypnotisés par le charisme intrépide de la moumoute de David Pujadas, jamais n'atteint notre oreille ou notre rétine. Et comme le disait le poète « on nou di pa tous » Alors, puisqu'on ne nous dit pas qu'on ne nous dit pas tout, comment faire émerger la vraie vérité du faux vraisemblable ? Nous allons donc présentement tenter d'appréhender l'inappréhendable, de soumettre l'insoumis, de violer l'inviolable, de sonder l'insondanable.
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