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| - Une théorie non encore totalement élucidée présente l'écrivain et diplomate Enea Silvio Piccolomini, plus connu par les littérateurs sous son nom de plume AEneas Sylvius et par les ecclésiastes sous son nom de pape, Pie II, comme son véritable père. Sa véritable mère, au nom perdu dans l'histoire, aurait été une captive ottomane en attente de rançon, capturée pendant le corso ("course" dans le sens de brigandage maritime, à l'originaire du mot Corsaire) par les galères de l'ordre de Malte au large du village grec de Lépante *. Notes:
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| - Une théorie non encore totalement élucidée présente l'écrivain et diplomate Enea Silvio Piccolomini, plus connu par les littérateurs sous son nom de plume AEneas Sylvius et par les ecclésiastes sous son nom de pape, Pie II, comme son véritable père. Sa véritable mère, au nom perdu dans l'histoire, aurait été une captive ottomane en attente de rançon, capturée pendant le corso ("course" dans le sens de brigandage maritime, à l'originaire du mot Corsaire) par les galères de l'ordre de Malte au large du village grec de Lépante *. Son "compère" (si je puis dire) et plus tard père officiel du petit Léonardo, messire Piero Fruosino, n'étant rien d'autre qu'un homme de paille destiné à couvrir le secret de la filiation réelle de celui qui considéré dans son village comme un bâtard aux origines incertaines, fut reconnu plus tard comme le plus grand génie de son temps, au point d'être exempt du bûcher malgré son homosexualité, son gout pour le travestissement **, sa pratique régulière du blasphème, son anticléricalisme et sa curiosité insatiable le poussant à disséquer des cadavres afin de comprendre le fonctionnement du corps humain ainsi que pour son "non finito", (d'avantage pour des raisons esthétiques que par simple étourderie ou pure escroquerie) faisant qu'il n'achevait jamais les œuvres pour lesquelles il avait été payé (ses commanditaires ne comprenant pas la beauté de l'esquisse), le tout en toute impunité. Chacun de ses éléments même pris un par un, ayant en son temps, en particulier depuis le Pape Pie V ***, promis la condamnation à mort après maintes tortures, à tout autre mortel sans la protection exceptionnellement bienveillante de la plus haute autorité. Notes:
* Emplacement qui sera 119 ans plus tard, le lieu de bataille navale la plus cruciale dans l'histoire de la chrétienté et au cours de laquelle l'écrivain espagnol Miguel de Cervantes, fameux auteur de "Don Quichotte", perdit l'usage de sa main gauche, "Pour la plus grande gloire de sa main droite!" déclara-t-il par la suite.
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* La fameuse Joconda ("souriante" en toscan) n'étant rien d'autre que son autoportrait de jeunesse, offert par testament à la mort de Léonard en 1525, à son disciple et amant Giacomo Caprotti da Oreno, surnommé Salai ("petit diable" en toscan), qui le cédera à François Ier.
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* Qui fit interdire les spectacles taurins dès 1567 dans toute la chrétienté mais édicta par bulle pontificale de purifier (par le bûcher) tous les homosexuels, y compris parmi les prêtres et de faire fouetter les prostituées sur la place publique. Ce qui ne l'empêcha pas d'être canonisé pour (ou malgré) cela, en 1712 par le pape Clément XII après béatification par son prédécesseur, Clément XI en 1672.
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