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| - Satoru Satō, après un diplôme à l'École des Beaux-Arts de Tōkyō, s'installe à Paris. Il suit les cours de l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris dans l'atelier de Gustave Singier. Il est également enseignant en arts plastiques (art paysagiste). Membre du groupe constructiviste Madi, Satoru a d'abord fondé son travail sur des oppositions d'aplats chromatiques aux formes rigoureuses. 1975 : Fait la connaissance d'artistes comme Carmelo Arden-Quin, Carlos Cruz-Diez, Soto à Paris. En 2007 Ouverture du Satoru Sato Art Museum, ville de Tome, Japon
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| - Satoru Satō, après un diplôme à l'École des Beaux-Arts de Tōkyō, s'installe à Paris. Il suit les cours de l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris dans l'atelier de Gustave Singier. Il est également enseignant en arts plastiques (art paysagiste). Membre du groupe constructiviste Madi, Satoru a d'abord fondé son travail sur des oppositions d'aplats chromatiques aux formes rigoureuses. 1973: Rencontre à Paris avec Michel Seuphor et Ie professeur Okamoto avec lesquels se développeront des relations durables. Il fait la connaissance d'artistes parisiens comme Bozzolini, Jean Leppien, Aurélie Nemours. 1975 : Fait la connaissance d'artistes comme Carmelo Arden-Quin, Carlos Cruz-Diez, Soto à Paris. En 1976 il commence par entourer la toile d’une structure de bois ou rythme ses surfaces peintes avec des baguettes posées asymétriquement. Cette première étape débouche sur la création de tableaux en relief. L'artiste abolit ensuite partiellement la toile, laissant place au vide, qui devient un élément central de ses réflexions. En 1979, Satoru développe un nouvel axe de réflexion autour de la notion de verticalisme. Son utilisation de matériaux bruts, tels la toile laissée nue ou le bois (et, pendant une courte période au début des années quatre-vingt, le métal), traités dans une palette réduite, et sa conception de constructions intermédiaires, à mi-chemin entre la peinture et le relief, ont mené Satoru à la sculpture proprement dite et à une réflexion sur l'intégration de l'art dans l'environnement. Ce souci constant d'interaction entre l'œuvre et son environnement a trouvé son aboutissement avec deux chantiers d'envergure, dans la région natale de l'artiste, autour de Sendai. Il s'agit de la construction du pont des Arts de la rivière Natsu, et surtout de la conception complète d'un parc public, dans la petite ville de Nakada en 2000. En 1996, dans le cadre du Symposium de sculptures monumentales, organisé par la ville, le sculpteur japonais Satoru Satō a élevé sur la partie du parc qui domine Clermont-Ferrand, deux colonnes de granit blanc de sept mètres de haut, alignées sur les flèches de la cathédrale et accompagnées d’un chemin de blocs plats en granit et pierre de Volvic, propice au jeu et à l’imaginaire. En 2007 Ouverture du Satoru Sato Art Museum, ville de Tome, Japon
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