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| - Les États-Unis, jusqu'alors neutres, en usine du monde, se retrouvent brusquement enrichis comme ils ne l'avaient jamais été auparavant, en intervenant au dernier moment pour renverser la situation en France et empêcher le socialisme de se répandre comme une tache d'huile sur l'Europe, en appuyant la décision des français d'écraser la naissante République de Weimar sous des réparations de dommages de guerre telles qu'elle n'aura pas d'autre choix que décider de se réarmer aussi discrètement que possible, violant les termes du traité passé à ses dépends, pour faire payer son humiliation à ses bourreaux et rançonneurs (La France occupant militairement sa région la plus riche, le bassin houillé de la Ruhr). L'URSS, devient par la terreur un grand empire ressemblant certes à un tigre de papier mais que le soutien en tant que principal adversaire de l'Allemagne a rendue surpuissante militairement mais ridicule économiquement. Ne tenant debout que par la peur entretenue de l'extermination des peuples communistes présentés comme des untermenschen (sous-hommes en allemand, le mot slaves signifiant esclaves) par les puissances impérialistes occidentales. Quant à l'Europe, de superpuissance économique et militaire, son incapacité à s'unir sous un seul gouvernement élu plus ou moins démocratiquement, préférant longtemps durant laisser parler la voix des armes pour tenter l'unification d'une multitude de peuples sous une même férule, elle redevient un continent de seconde zone, à peine plus viable que les républiques bananières sud-américaines, maintenues en vie dans le seul but d'écouler les produits d'exportation des USA, à commencer par les avions de ligne et les denrées vaguement alimentaires de plus en plus frelatées. En fait, la date réelle de la première guerre mondiale n'a rien à voir avec l'assassinat de l'empereur Franz Ferdinand von Österreich-Este à Sarajevo, mais trouve son origine dans les guerres d'expansion de Louis XIV au détriment des peuples germaniques. Affaiblissant ceux à ses frontières, elles favorisèrent le royaume hyper militariste de Prusse et réussirent indirectement l'unification de l'Allemagne sous sa botte grâce à l'ambition de Napoléon Ier de refaire de l'Europe un Empire comparable à l'empire Romain. Suite à son échec, la tentative en 1870 de son neveu Napoléon III à rééditer ses exploits ne fit que de consolider la tentative d'Otto von Bismark d'unifier les royaumes allemands sous la botte Prussienne. La véritable fin de la première Guerre mondiale a lieu à la chute de l'URSS, en 1991, et non en 1918, qui n'est qu'un armistice, autrement dit, un court répit signé par le gouvernement de la république socialiste de Weimar, (les peuples allemands ayant renversé le régime du chancelier Bismark) destiné à remettre un peu d'ordre dans une Europe exsangue à cause de l'utilisation des armes chimiques et surtout bactériologiques, avec notamment la grande épidémie de Grippe aviaire dite "Espagnole", pour écarter les soupçons sur l'origine réelle de ce fléau. La reprise en 1939, mettant fin à la période de statut quo, pour venger l'humiliation subie par Allemagne lors du traité de Versailles. L'échec de celle-ci en 1945, permettant aux États-Unis et à l'URSS de se révéler en tant que superpuissances et de continuer à s'affronter sur d'autres territoires que le leur pour se partager le monde et ses richesses, jusqu'en 1991, où les USA en acquérant le statut d'Hyper-Puissance économique et militaire, grâce à une expansion soutenue économiquement par les territoires conquis, en particulier Allemagne et Japon, rançonnés en raison de leur situation de bouclier contre le communisme, la protection américaine jouant le rôle de carotte, et l'abandon à l'URSS, celui du bâton, jusqu'à ce que ce dernier s'effondre en raison des révélations sur la vétusté de son infrastructure économique. Privés d'épouvantail à moineau, les USA ne sont alors plus vus comme des protecteurs mais comme un empire sur son déclin économique en raison du sur-endettement provoqué par sa politique de sur-armement. A partir de cette date, les USA décident de favoriser la Chine au détriment de ses anciens "alliés" Japonais, Coréens, Taïwanais, Thaïlandais, Arabes et surtout Européens, devenus trop puissants économiquement au point de se révéler non comme débouché économique absorbant la production américaine, mais comme rivaux remportant des marchés économiques jusque son propre territoire. Considérant la vétusté et donc l'impuissance de la Chine, au bord de l'asphyxie économique suite à l'effondrement de son seul partenaire économique, la corruption et l'absence de scrupule de son gouvernement comme des atouts économiques, la décision fut prise par les Bilderbergers (gratin de l'ordurie) de délocaliser l'ensemble des secteurs économiques sur son territoire par simple effet d'entrainement, en faisant la prison-usine idéale du monde, au coût de mains-d'œuvre ridicule grâce à l'emploi de prisonnier(e)s et d'enfants ainsi que des richesses minières sous-exploitées, pour soutenir à bout de bras leur croissance exponentielle jusqu'au statut de nouveau "super méchant" dans l'illusoire et surtout extrêmement périlleux espoir de retrouver une forme d'équilibre de la terreur, proche de celui de la guerre froide permettant aux USA de retrouver leur statut de protecteur, à la manière de toute organisation mafieuse, c'est-à-dire en "protégeant" par intimidation et coercition, les commerces petits ou gros, en touchant de substantiels pots de vin en échange de l'absence "d'ennuis" que l'on peut aussi résumer sous la célèbre expression "La Bourse ou la Vie". Catégorie:Questions ayant reçu une réponse Catégorie:Napoléon Catégorie:Questions à conserver
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