Au premier trimestre 2010, Christian Boltanski présente deux expositions majeures Monumenta 2010, Personnes au Grand Palais et Après au Mac/Val. Ces deux expositions s'inscrivent dans l'œuvre globale de l'artiste qu'il définit comme une constellation qui révèle en même temps une infinité de problèmes, sans avoir jamais la prétention de vouloir les résoudre. On pourrait dire que ses travaux n'ont pas d'histoire propre, mais qu'ils inventent sans cesse leur propre géographie.
Au premier trimestre 2010, Christian Boltanski présente deux expositions majeures Monumenta 2010, Personnes au Grand Palais et Après au Mac/Val. Ces deux expositions s'inscrivent dans l'œuvre globale de l'artiste qu'il définit comme une constellation qui révèle en même temps une infinité de problèmes, sans avoir jamais la prétention de vouloir les résoudre. On pourrait dire que ses travaux n'ont pas d'histoire propre, mais qu'ils inventent sans cesse leur propre géographie. Selon sa propre expression, il s'agit de fusionner "les arts visuels qui sont un art de l'espace et le théâtre qui est un art du temps? Pour ce projet, j'essaie de combiner les deux afin de créer une progression. On n'est plus devant quelque chose, mais plutôt dans quelque chose. C'est ce qui m'intéresse aujourd'hui". Il met ainsi en scène ses installations à la manière des tableaux d'une pièce de théâtre. En parallèle, Christian Boltanski continue ses enregistrements des battements de cœur du projet Les Archives du cœur et et installe des cabines aussi bien au Grand Palais qu'au Mac/Val .