Cette théorie, qui dépend des cordes du fromagium pour tout relier de façon unifiée, servait comme point de départ des recherches atomiques de l'accélérateur casse-croûte de Oka. Les scientifiques québécois ont prouvé qu'en accélérant les atomes de fromagium (Fm, élément numéro 100), on peut casser la croûte (Cr, élément 24) et que les produits de cette fission atomique serviraient à diviser les atomes de patate (Pa, élément 91) pour générer la poutine (Pt, élément 78) ainsi qu'une quantité énorme d'énergie.
Cette théorie, qui dépend des cordes du fromagium pour tout relier de façon unifiée, servait comme point de départ des recherches atomiques de l'accélérateur casse-croûte de Oka. Les scientifiques québécois ont prouvé qu'en accélérant les atomes de fromagium (Fm, élément numéro 100), on peut casser la croûte (Cr, élément 24) et que les produits de cette fission atomique serviraient à diviser les atomes de patate (Pa, élément 91) pour générer la poutine (Pt, élément 78) ainsi qu'une quantité énorme d'énergie.