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| - Principauté enclavée dans la banlieue ouest parisienne, dans le département des Hauts-de-Seine. Indépendance acquise en 1983, après plusieurs décennies de joug bolchévique. Au recensement de 2006, Levallois-Perret comptait 103246 habitants, dont 43237 chiens de petite taille, 35134 couples assidus à l'office dominical et 643789 petits enfants blonds. Par temps clair, de la place du marché on aperçoit le haut du clocher de Chatuzange-le-Goubet.
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| - Principauté enclavée dans la banlieue ouest parisienne, dans le département des Hauts-de-Seine. Indépendance acquise en 1983, après plusieurs décennies de joug bolchévique. Au recensement de 2006, Levallois-Perret comptait 103246 habitants, dont 43237 chiens de petite taille, 35134 couples assidus à l'office dominical et 643789 petits enfants blonds. Par temps clair, de la place du marché on aperçoit le haut du clocher de Chatuzange-le-Goubet. La France ne reconnaît pas la pleine indépendance de la principauté, mais des relations bilatérales privilégiées existent entre les chefs d'état des deux nations. Ainsi Levallois-Perret doit partager sa gare ferroviaire avec la ville française voisine de Clichy-la-Garenne, en échange de quoi le Prince a obtenu à vie le droit de représenter une circonscription commune aux deux localités à l'Assemblée Nationale française. Il arrive que dans certains domaines, la Principauté soit assujettie à certaines lois françaises qui mettent en difficultés certains sujets. Ainsi, en 1995, profitant d'une injuste déstabilisation judiciaire du Prince par des forces étrangères hostiles, l'insignifiant Olivier de Chasse-d'Eau s'empare du pouvoir. S'ensuit une noire période de 6 ans de disette, au cours de laquelle l'ensoleillement annuel tombe sous la barre des 10 jours, les vaches ne produisent plus de lait, les champs restent stériles et du poil revêche pousse aux jambes des levalloisiennes. Le peuple affamé rappelle alors son souverain exilé, qui rétablit rapidement ordre, sécurité et prospérité. Il est question depuis quelques années d'abandonner le nom de Perret, qui rappelle des pratiques immobilières douteuses du XIXe siècle, heureusement complètement disparues aujourd'hui. Plusieurs associations de résidents sont constituées pour promouvoir une solution consistant à renommer la ville Levallois-Balkany. Le principal projet des prochaines années consiste à la construction de tours jumelles de 987 mètres de haut, permettant d'accueillir les sièges sociaux de 432 nouvelles entreprises, portant le nombre de salariés sur la commune à 1 456 987, ce qui permettrait par le biais de la taxe professionnelle de rembourser 11% de la dette municipale à l'horizon 2030.
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