On peut aussi être sous le vent d'un terrain. Dans ce cas, l'expression n'a pas cette connotation dangeureuse car il n'y a pas d'obstacle générant de turbulence. Cependant, en avançant vers ce terrain, le vent de face va contrer le PUL. La perte d'altitude en vue de l'atterrissage doit donc se faire du côté au vent de ce dernier pour ne pas risquer de ne pas pouvoir le rejoindre.
On peut aussi être sous le vent d'un terrain. Dans ce cas, l'expression n'a pas cette connotation dangeureuse car il n'y a pas d'obstacle générant de turbulence. Cependant, en avançant vers ce terrain, le vent de face va contrer le PUL. La perte d'altitude en vue de l'atterrissage doit donc se faire du côté au vent de ce dernier pour ne pas risquer de ne pas pouvoir le rejoindre.