Le principe du SMS chinois ne laisse un flou que sur le placement d'un idéogramme à imbriquer par rapport à celui qui le contient. La topologie d'une imbrication quelconque est intelligemment dictée par les quatre tons phonétiques de base de la langue chinoise. Ces tons sont les suivants : Plusieurs types de normalisation topologique existent. Illustrons par un exemple : soient les idéogrammes pour "pâté", "maison", "chien", et "campagne".
Le principe du SMS chinois ne laisse un flou que sur le placement d'un idéogramme à imbriquer par rapport à celui qui le contient. La topologie d'une imbrication quelconque est intelligemment dictée par les quatre tons phonétiques de base de la langue chinoise. Ces tons sont les suivants : Plusieurs types de normalisation topologique existent. Illustrons par un exemple : soient les idéogrammes pour "pâté", "maison", "chien", et "campagne". Ces idéogrammes sont sciemment choisis pour différer tonalement les uns des autres et composer des locutions avec l'idéogramme de "pâté". On peut en effet concevoir différents types de pâté :
* Le pâté de campagne
* Le pâté de maisons
* Le pâté de chien
* Le patep athée (2x pâté) (langue vivante de Papouasie Nouvelle-Guinée débarrassée de sa connotation religieuse, [1])
* Patte, tes pas t'épataient (3x pâté) Cette affinité avec "pâté" va nous servir de base d'étude sur différentes méthodes d'imbrication par rapport aux tons variés des idéogrammes. L'ordre d'imbrication suit la convention française : "le complément du nom se place après le nom" sera traduit par "le complément du nom s'imbrique dans le nom", ici le pâté.