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| - Commercialisé en 1987 par la société Saustrin, le pédiluve à bretelles est à la moule pédale ce que la targette est à la porte. La recrudescente dans le milieu notoire de bains de pieds valut à cette compagnie un beau succès d'estime en 1989 qui se transforma au début des années 90 en bénéfices juteux.Description
Le montée des eaux se fait par le manche à balai après avoir tiré la chasse d'eau. Les pieds se retrouvent ainsi baignant dans le liquide thermal. Comme on peut le voir sur la photo, l'équipement est auto-restrictif et s'adapte soit au pied gauche, soit au pied droit, soit aux deux. Le boîtier de commande s'installe sur l'avant bras aux alentours du poignet. La main mise est ainsi reliée par son inféodalité aux chaînes de contrôle qui active ou désactive le système. Les bretelles sont généralement en chaîne de métal chirurgical afin de respecter l'hygiène de l'utilisateur.Processeur Interne
L'agent d'enclenchement possède un Processeur Interne Privé Encodé (PIPE) situé dans le boîter de contrôle. Le PIPE permet la gestion des ablutions pédales, via des capteurs installés sur le bassin pédestre. Il assure, en particulier le renouvellement des solutions amandines et la vitupération des moteurs d'interface.Cachou Lajaunie
C'est à Toulouse, dans les locaux de la pharmacie Lajaunie (le cachou chouchou) que les premiers essais eurent lieu. Le matin du troisième jour, une fuite dans les suceurs de corélation inonda les lieux et révéla ainsi au monde ébahi la nature profonde du cachou en relation individuel avec le pied. Fort heureusement, la société Saustrin et son équipe émérite de chausseurs pu remédier au problème et sustenter la décompréssion labiale du marche-pied de contrepoids qui déconnait à l'aise. Les essais se succédèrent alors à un rythme effréné permettant l'apparition du pédiluve à bretelles dés la fin les années 80.Couleuvres
On a prétendu, de façon erronée il va sans dire, que les pédiluves à bretelles provoquaient des maladies, en particulier qu'ils favoriseraient l'apparition de psoriasis ou d'impétigos. C'est une légende urbaine répandue par les fabricants de pédiluves de piscine, afin de contrer la montée des ventes de pédiluves à bretelles. Le dermatologue Jean-Louis Marc Alibert a démontré, à la suite de tests très sérieux en laboratoire portatif, que le pédiluve à bretelles était bien plus hygiénique que son homologue communautaire des piscines.Le Futur
L'avenir du pédiluve à bretelles se trouve dans l'espace. En effet quelle merveilleuse invention pour les cosmonautes et futurs habitants des stations spatiales! Les bretelles synthétiques laissent à augurer d'une brillante carrière dans le domaine spatial.
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