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  • Léo Ferré - (vie héroïque)
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  • Léo Ferré - (vie héroïque) est composé d'une série de sketchs déconnectés précédés et suivis de chansons de Léo Ferré arrangées par les grands noms de la chanson française (Entre autres : Olivia Ruiz, Faudel, Diam's, Lara Fabian). La structure du scénario n'est pas sans rappeler celle des films amateurs. Situé en France sur près de 60 ans, le film poursuit, sur un mode décousu, les pérégrinations de Léo Ferré (Bénabar), un jeune monégasque inspiré par une marionnette en saindoux représentant le fantôme d'Apollinaire (Kad Merad) et qui devient l'homme le plus aimé de France, d'une perfection sans égale, le saint des saints, béatifié, canonisé.
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  • Léo Ferré - (vie héroïque) est composé d'une série de sketchs déconnectés précédés et suivis de chansons de Léo Ferré arrangées par les grands noms de la chanson française (Entre autres : Olivia Ruiz, Faudel, Diam's, Lara Fabian). La structure du scénario n'est pas sans rappeler celle des films amateurs. Situé en France sur près de 60 ans, le film poursuit, sur un mode décousu, les pérégrinations de Léo Ferré (Bénabar), un jeune monégasque inspiré par une marionnette en saindoux représentant le fantôme d'Apollinaire (Kad Merad) et qui devient l'homme le plus aimé de France, d'une perfection sans égale, le saint des saints, béatifié, canonisé. La longueur du film (2 h 46) empêche souvent d'en percevoir, à cause d'assoupissements, son caractère extrêmement chiant. À travers des tableaux connectés par la méthode dite du "Chien dans un jeu de quilles", Joann Sfar explore systématiquement, en faisant appel à sa propre inexpérience, les choix existentiels qui s'offrent à un réalisateur pris au piège d'un sujet qui dépasse son talent : filmer Léo Ferré qui se tape une blonde, filmer Léo Ferré qui se tape une brune, sa façon de créer des chansons ex nihilo en trente secondes , filmer Léo Ferré qui se tape une fausse-blonde, filmer Léo Ferré qui chie trente-six chansons en une nuit. Sans porter de jugement, le film évoque ces petits montages Windows movie maker postés en masse sur Youtube. Sauf que là, il vous en coutera une place de cinéma pour être consterné. Ce chemin de croix se déroule en 12 étapes, précédées par un prologue et conclues par un codicille. * Prologue — Le jeune Léo Ferré discute en rêve avec une jeune fille sur la plage, il lui dit "C'est extra, t'es rock Coco". 1. * Générique tout en dessin animé, sur une musique de Patrick Fiori - durant plus de quinze minutes afin de bien laisser le temps de montrer tous les noms des gens impliqués dans ce truc. 2. * La jeunesse de Léo — Léo Ferré, jeune objecteur de conscience de cinq ans découvre par hasard qu'il est génialement doué au piano mais qu'il parle comme un robot. Ce passage dure plus de trente-cinq minutes afin de bien endormir le spectateur dès le début. Puis il rencontre Fréhel (Yolande Moreau) en se baladant. Il chante avec elle sa fameuse chanson "J'aime tuer des gens", arrangée par Céline Dion. 3. * L'apparition du Double de Léo Ferré - Alors qu'il est tranquillement en train de réécrire la cinquième symphonie de Beethoven, il entre soudainement en contact avec son double, une couille géante (Guy Carlier). Il commence alors à danser et chantonner avec son double. Ce passage, bien pourri, symbolise la vacuité de la vie quand un spectateur paye dix euros de cinéma pour voir un gamin tout raide danser avec une gigantesque testicule en latex pendant dix minutes à l'écran. 4. * La suite et fin de sa jeunesse — Afin de délayer un peu son film, Joann Sfar filme des trucs au hasard. 5. * Enfin adulte — Retiré dans un cabaret, Léo Ferré chante "La vie d'artiste", puis il se tape une gonzesse, ensuite il va ailleurs et chante "Avec le temps", après il se tape une autre gonzesse, puis il va chanter "Monsieur William", rebelote il se tape une autre nana, il rencontre Salvador Dali joué par José Garcia ("Excellent" - Le Parisien ) puis il se tape une autre gonzesse, boum il chante c'est extra, ensuite Sarah Forestier déboule et se met à hurler en faisant du break-dance, il se la tape et chante "L'affiche rouge" (toutes ces chansons sont en fait des reprises, réarrangées par le génie musical de Cauet). A noter, cette partie est marquée par l'omniprésence du double de Léo Ferré, le fantôme d'Apollinaire qui sert essentiellement à ralentir le film. 6. * La vie d'artiste Le concours de sosies — Attention défilé de stars en puissance, dans le désordre, Mélanie Laurent en Édith Piaf ("Génial" - le journal du Dimanche), Florent Pagny en Jacques Brel ("Super" - Le Point), Elie Semoun en Jean-Roger Caussimon ("Une révélation" - Le Figaro), Gérard Jugnot en Jean Gabin ("J'ai joui" - 20 Minutes), Mimie Mathy en Juliette Gréco ("Excellent choix" - Studio Ciné Live), Philippe Catherine en Philippe Catherine ("J'ai pas eu mon chèque alors c'est nul" - Télérama). Cette partie sert surtout à faire rire le spectateur qui était au bord du suicide. 7. * Mai 68 — Bon, il se passe pas grand chose dans ce film de merde, vous lisez encore ? Mais comment ça se fait ? 8. * Juin 68 - Alors là, comme Joann Sfar veut rentabiliser son budget maquillage; il refilme sa marionnette d'Apollinaire pendant trois-quart d'heures, entrecoupés de chansons de Léo Férré réarrangées par François Delerm et de moments où il se tape des meufs. Voilà voilà... 9. * La déchéance — Joann Sfar vient de regarder ses rushs, il décide de faire disparaitre sa marionnette parce que franchement ça pue. Pendant ce temps là, Léo Ferré continue de chanter et de baiser. 10. * les années quatre-vingt et quatre vingt dix — Joann Sfar a pris le parti de filmer tout ça en quarante secondes chrono sous-prétexte que "On s'en fout, aller, vite on zappe tout ça, si les spectateurs s'emmerdent trop ils vont avoir envie de me lyncher et puis j'ai déjà claqué tout mon budget en putes bulgares". L'ensemble se déroule sur la musique de "Et...Basta !" remasterisé avec brio par Patrick Sébastien. * Codicille — Léo Ferré s'en va en chantant "La mémoire et la mer" en version original ( "L é nul 7 muzik L fé vielle └◘└" - Excessif) Le générique démarre par une citation de Joann Sfar : "C'est mon caca, j'en suis fier, si ça vous plait pas, c'est le même prix !"
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