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| - La lapidation, du latin lapis (pierre), donnant le verbe lapidare, littéralement « tuer à coups de pierres » Tuer à coups de pierres -> Tuer à coups deux pierres ?
- L'art de tuer des paires de pierres avec un seul oiseau (canarder dans le jargon) dérive du besoin universel de s'abstraire des conjonctures de non-renouvellement et de pénurie des réserves de projectiles ornithologiques, un oiseau étant une ressource par essence "volatile", en particulier sous le point de vue balistique. En général, la valeur extrinsèque de cet art est indexé sur le stock mondial des pierres et des oiseaux.
* Fuselage aérodynamique
* Aéroportance à laquelle contribuent les plumes et l'ossature creuse
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abstract
| - La lapidation, du latin lapis (pierre), donnant le verbe lapidare, littéralement « tuer à coups de pierres » Tuer à coups de pierres -> Tuer à coups deux pierres ?
- L'art de tuer des paires de pierres avec un seul oiseau (canarder dans le jargon) dérive du besoin universel de s'abstraire des conjonctures de non-renouvellement et de pénurie des réserves de projectiles ornithologiques, un oiseau étant une ressource par essence "volatile", en particulier sous le point de vue balistique. En général, la valeur extrinsèque de cet art est indexé sur le stock mondial des pierres et des oiseaux. L'oiseau, seul ou attiré hors d'un groupe, est un parfait support de la discipline, d'abord par sa disponibilité (par voie aérienne, terrestre voire même maritime), puis par son adéquation, et surtout une légitimité historique articulée par des millénaires de pratiques et de coutumes folkloriques, en particulier à l'occasion de la Saint Jean et la Saint Joseph (cf. Les Pierres à oiseaux). Si l'on privilégiera généralement l'usage de son oiseau comme d'une matraque (contrairement à la croyance populaire, le martinet ne répond pas forcément à cet usage), le lancer d'oiseau compte des avantages inscrits dans le pool génétique de la faune ornithologique :
* Fuselage aérodynamique
* Aéroportance à laquelle contribuent les plumes et l'ossature creuse Parmi les oiseaux "lançables en principe" figure également le manchot. Même s'ils ont une vie essentiellement terrestre (c'est-à-dire avant votre arrivée sur la banquise), les manchots "descendent" des espèces volantes. Par conséquent, ils ne marchent pas mais volent bas (par analogie, on peut inférer également que nos ancêtres volaient tous comme Icare). Néanmoins, ils ne constituent pas un projectile viable à un niveau de lancer expert (cf. L'oiseau idéal). Notez que l'utilisation des oiseaux de chasse spécialement élevés pour la traque aux cailloux est mal vue en général par les pratiquants de ce sport.
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