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  • Blanche-Neige et les sept mercenaires
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  • Il était une fois, dans un paìs lointain, une jeune femme non moustachue du nom de Blanche-Neige. Ses lèvres avaient la rondeur de deux tostadas, de la couleur du mole rojo spécial cuisiné à la Santa Maria, ses cheveux longs et sombreros sentaient le chipotle de caractère. Tout le monde aimait la nena, comme ils l’appelaient dans le royaume de Mexicò, et savait que sous son luxueux poncho c’était ùn corazòn grande asì qui battait pour son peuple. Car elle était princesse, de ces princesses dont on fait les contes de féa. La reina : Mais, qui est-ce, puta de mierda ?
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  • Il était une fois, dans un paìs lointain, une jeune femme non moustachue du nom de Blanche-Neige. Ses lèvres avaient la rondeur de deux tostadas, de la couleur du mole rojo spécial cuisiné à la Santa Maria, ses cheveux longs et sombreros sentaient le chipotle de caractère. Tout le monde aimait la nena, comme ils l’appelaient dans le royaume de Mexicò, et savait que sous son luxueux poncho c’était ùn corazòn grande asì qui battait pour son peuple. Car elle était princesse, de ces princesses dont on fait les contes de féa. Sa madre, la reina, était morte en couche, après avoir desperadomente désiré un enfant. Devant sa fenêtre elle regardait la neige tomber sur les champs de coca, et chaque hiver faisait le vœu secret d’un jour enfanter une chiquita aux lèvres et aux cheveux comme on a dit au-dessus, à la piel blanche comme un tortilla de blé à peine sortir du four. Le jour où le sort lui permit d’enfin devenir mère, il lui joua pourtant deux tours : il lui ôta la vida et lui donna finalement un bébé à la peau de la couleur des tortillas au maïs. « T’es sour ? » demanda la reina dans un dernier souffle. « Plus que sour, yé soui souraméricain », répondit le sort. Et la reina mourut, laissant la nouvelle née au rey, désormais veufo. Bien qu’il aimât sa hija d’un amour infini, le rey ne put se résoudre à rester celibatario. Peu de temps après il prit donc une nouvelle esposa, une femme magnifique et mystérieuse, pensant qu’elle serait une bonne madre de substitucìon (y un bon golpe dans la cama). Mais cette dernière se montra rapidement jalouse de Blanche-Neige et à mesure que la nena grandissait, grandissait aussi la haine et la jalousie que la nouvelle reina nourrissait à son égardo. Plein de rancœur, son corazòn ne trouvait un moment de répit que lorsqu’elle s’admirait devant son miroir magico, lequel passait des horas à la complimenter. La reina : Miroir, mon beau miroir, ne souis-je pas la plou belle au sud du Rio grande ? La reina : Mais, qui est-ce, puta de mierda ? La reina : Què puta ! Yé doit m’en débarraser ! La seule ombre portée à sa beauté était sa belle-fille et les paroles du miroir magico, pourtant à son servicio, alimentaient chaque jour un peu plus sa colère. Elle était presque la plou belle, et seule la dispariciòn de Blanche-Neige allait pouvoir la rendre heureusa. Le jour où notre héroïne fêta ses dix-houit ans, la reina résolut donc de la faire assassiner par un chassor. Elle dépêcha son mejor hombre, et ce dernier conduisit Blanche-Neige dans la forêt pour l’assassiner. Arrivés au plus sombrero de la forêt, Blanche-Neige et le chassor s’arrêtèrent. Ce dernier se retourna vers elle, brandissant son épée. Le chassor : Pardonnez-moi, princesse, mais les ordres de la reina sont formelos, je dois ramener votre corazòn, arraché de votre souperbe poitrine, au château pour attester de votre mort. Blanche-Neige : Sa haine envers yo était si grande ? Ne peux-tu m’épargnar ? Le chassor : Non, yé ne peux pas, lo siento princesse Blanche-Neige. Sauf peut-être si vous avez quelque chose qui peut m’intéresser, porquè no… Blanche-Neige, qui connaissait les hombres mieux qu’elle ne se connaissait elle-même, ôta alors sa robe et entreprit d’entreprendre le jeune chassor. À l’issu de leur ébats, un peu déçu, il laissa la belle le pelo collé dans une clairière, endormie, et sur le camino du retour et pour ne pas éveiller les soupçonnos, tua une biche et ramena son cœur à la reina. Pendant ce tiempo, Blanche-Neige s’était réveillée, et réfugiée dans le restaurante del fundo des bois, un lieu de passage pour les clandestinos, appelé la Mano Negra. Au mismo moment, au château la reina était entrée dans une rage loca qui ne désemplissait pas ! Elle avait fait pendre ce traître de chassor par las couillas, et devant son miroir magico répétait inlassablement la même question, dans l’espoir que ce dernier se soit trompo. La reina : Miroir, miroir, ne suis-je pas la plou belle maintenant ? ? La reina : Ho, hé, ça va ! J’étais quasimente la plou belle hier encore ! La reina : Que mierda, ce n’est pas possible ! Non seulement elle est toujours en vida, mais elle est toujours la plou belle ! Je dois fomenter un nouveau plano. Ainsi cette fois la reina résolut d’aller elle-même dans le fundo de la forêt à la rencontre de sa belle-fille, bien décidée à la touer. Pour ce faire, comme elle était TRES POUISSANTE, elle prépara une figue de barbaria empoisonnée, qui devait plonger sa rivale dans un profundo coma. C'était très pouissant. Image:Question.png Saviez-vous que... Blanche-Neige était la plou belle. Un des clients de passage : Hola, Blanche-Neige ! Tou es certainement la plou belle femme que yé jamais vu ! Blanche-Neige : Hihihi…que tal monsieur Angarcìa ? Une danse privée, comme d’habitoude ? Serge Angarcìa : Exactamente ! Fais péter le champañe. Yé amené six amigos, des mercenaires, qui vont faire la route avec moi jusqu’à Rancho de Fritas Rojos. Tous des hombres virils qui n’ont pas vu une mujer depuis des anõs ! Le señor Angarcìa présenta ainsi à Blanche-Neige ses companeros : Youl Brynnero, Steeve Macouìn, Roberto Vogana, Simplet, Carlos Bronson et James Malcoburn, un yankee débarqué en terres mexicaines depuis son plou jeune âge. Tous hombres sans peur ni patrie. Tandis que la reina s’approchait de la Mano Negra, Blanche-Neige découvrait son nouveau milieu et sa nouvelle condiciòn de femme la plou belle au sein du groupe de bandidos. Différant leur expédiciòn texane, les sept choisirent donc de rester oune peu et de profiter de son culo du paysage. Mais le jour arriva où à la sortie d’une clairière, la reina trouva le restaurante où vivait Blanche-Neige. Déguisée en vieja et méconnaissable, elle s’approcha de la maison et cogna à la puerta. La puerta : Toc toc Blanche-Neige : Sì ? Quièn es ? La reina déguisée : Hola ! Yé souis une pauvre voyageuse, vieille et fatiguée, qui ne demande rien d’autre qu’un endroit où se reposer, en échange de la dernière figue de barbaria de son jardin. Blanche-Neige : Entrez donc, chère madame ! Yé vais vous servir à boire, et vous pourrez rester ici pour la nouit. La reina déguisée : Comme tou es un ange, mon enfant. Et tou m’as l’air d’être quasiment la plous belle femme du royaume, ce qui ne gâche nada. Blanche-Neige : Mes sept amoureux disent même que yé souis la plou belle de toute. Mais yé me trouve un peu maigre. La reina déguisée : Prends donc cette figue de barbaria pas empoisonnée, elle contient tous les minéraux et fibres qu’il te faudra pour garder une taille de top model. Yé te le promets. Dans la première version du conte des frères Grimmos, la figue de barbaria a vu elle-aussi son nom occidentalisé, et a été rebaptisée « pomme ».C’est ridicule. Blanche-Neige prit la figue que lui tendait la vieja devant elle, sans attendre y planta ses dents goulues et l’avala toute entière. Serge Angarcìa : Je vous l’avais dit les gars, une bouche de malade. Soudain, Blanche-Neige s’effondra, inconscienta. La reina déguisée en vieja se changea aussitôt en reina pas déguisée et les sept amoureux comprirent innamoramento : leur Blanche-Neige et ses lèvres de mole rojo venaient d’être empoisonnées ! Les sept : Qu’as tou fait, sorcière ? Mais la reina était déjà loin, ayant en quelques pas regagné la lisière du bois et disparu derrière un arbol. La reina : Héhéhé, me dicen el desaparecido ! ! Les sept : Sousse à la reina ! Sorcière ! Les sept se lancèrent immédiatement à la poursuite de la diabolique reina, espérant bien ramener pour Blanche-Neige une soluciòn qui la ferait redevenir fraîche et pleine de calor après deux verres de vino. Youl Brynnero : Yé pense qu’elle est passée par là…vers la rivière ! Carlos Bronson : No, Youl, yé souis sûr qu’elle est partie par là…vers les montagnes ! Simplet : Muy sensillo, joder. Si seguimos la senda por allì, y salvamos el matorral que se pueder percibir muy al fondo, os apuesto que ampliamente nos la habrán sobrepasada. Steeve Macouìn : Euh...demandons ploutôt à ce traficante de drogua qui marche paisiblement le long de la route, s’il n’a pas vou la reina. Le traficante repris sa route, et les sept mercenarios se lancèrent dans la direcciòn qu’il avait indiquée, et qui se trouvait justement être celle du château de la reina. Ils ne virent pas, dans leur dos, le traficante reprendre la forme de la reina : car c’était elle, et encore fois elle leur avait joué un bien vilain touro. À leur arrivée au château, bien sôur, il n’y avait personne. Pourtant, James Malcoburn savait que la piste ne s’arrêtait pas aquì. Des branches étaient brisées, de la terre aplatie, et des cigarillos encore fumants jonchaient un sentier en direcciòn du rio. Il alerta tout de suite les autres mercenarios, et tous partirent au triple galop vers le nord.Arrivés au bord du Rio Grande ils aperçurent la reina, tentant de remonter le courant tel un saumono, pour échapper à ses poursuivantos en passant la frontière mexicaine, derrière laquelle la vie de rêve l’attendait. Malcoburn avait vou juste, mais elle allait leur escapar. C’est alors qu’il out une idée : il intima à ses amigos de sortir leurs colts, et tous les sept commencèrent à mitrailler la reina avec tout le plomb qu’ils possédaient. Les sept mercenarios : Prends ça, salopa ! Tou n’aurais jamais dû toué notre Blanche-Neige ! La reina (quarante balles dans le buffeto, en train de se noyar) : Mais elle n’est pas muerta ! Elle dort simplement, et une preuve d’amor véritable peut la sauver ! Angarcìa : Vale. Mais comment faire, nous sommes sept ! Lequel dé nous est son amoureucito ? La reina (quarante balles dans le buffeto, en train de se noyar) : Sauvez-moi et je vous le dis… Bronson : No, tou nous lé dit d’abord ! La reina (quarante balles dans le buffeto, en train de se noyar) : D’accord…ahem…donc en fait, vous êtes tous ses amoureucitos ! Il faut que tous lui donniez la preuve d’amor qu’elle mérite. Maintenant sauvez yo ! Les sept : Vete a la mierda, merci pour la solucciòn, maintenant tou peux morir. La reina (quarante balles dans le buffeto, en train de se noyar) : Mais vous êtes des mercenarios ! ! Yé vous donnerai tout ce que yé…bloup gloup bloup Vogana : Tou a entendu un truc Bronson ? Bronson : Non, nada. Vamos a la playa. Yé m'appelle Inigo Montoya, prépare-toi à mourir ! Les sept mercenarios laissèrent la reina se noyer et prirent cette fois la direcciòn du sud. Ils retournèrent à la Mano Negra, puis Blanche-Neige, bien décidés à la tirer.du sommeillo. Au terme d’une orgie épique, la belle rouvrit enfin ses ojos. Les sept mercenaires, jubilant : Blanche-Neige ! Que suerte ! Tou es vivante ! Blanche-Neige : Sì, et bien que yé un peu mal au derrièro, yé souis bien contente. Mais, que m’est-il arrivado ? Les sept : La vilaine reina t’as donné une figue de barbaria empoisonnée, mais nous t’avons sauvada ! Blanche-Neige : Et où est-elle, ma belle-madre ? Vous ne lui avez rien fait j’espèro ! C’est oune femme presqu’aussi belle que yo ! Les six (en fait) : Ne t’inquiète pas, amor, Simplet a repêché son corps et s’active avec dans l’établa. Il doit certainement savoir qué en faire. Blanche-Neige : Et vous ? Vous savez, après tout ça, je serais bien contenta si vous passiez tous sur son cadavro ! Et c’est ainsi qu’tous les houit vécurent heureux et eurent beaucoup de bambinos. THE ENDO Image:Searchtool.jpg Maintenant vous parlez méxicain.
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