rdfs:comment
| - Rythmé par le clavier tam-tam Des indigènes, là, couleur d'encre de Chine Au bord du macadam Il a abandonné l'encre arrachée des plumes Au sifflement des sarbacanes Les flèches empoisonnées jalonnant le bitume Sur la voie en chicane Il te parle du cri des routes Et les crissements mort dans l'âme Et lui, lui qui les écoute Comme on écoute un fouet Un canon, une lame Au bord, au bord de l'highway Polyphonie Lumières bleues qui passent dans la nuit Amazonie Afrique Asie Les autoroutes Highway Fusils Souvent il n'a pas su où rester pour la nuit Alors il marchait dans le noir Sans demain, sans devoir Polyphonie Amazonie
|
abstract
| - Rythmé par le clavier tam-tam Des indigènes, là, couleur d'encre de Chine Au bord du macadam Il a abandonné l'encre arrachée des plumes Au sifflement des sarbacanes Les flèches empoisonnées jalonnant le bitume Sur la voie en chicane Il te parle du cri des routes Et les crissements mort dans l'âme Et lui, lui qui les écoute Comme on écoute un fouet Un canon, une lame Au bord, au bord de l'highway Polyphonie Lumières bleues qui passent dans la nuit Amazonie Afrique Asie Les autoroutes Highway Fusils Souvent il n'a pas su où rester pour la nuit Alors il marchait dans le noir Il vivait sans mémoire, sans lieu, sans aujourd'hui Sans demain, sans devoir Attendre une heure, vingt heures sur les courbes subtiles De la route et ses longues berges A l'horizon fuyant, des rubans, des reptiles Et cette forêt vierge Il te parlera au besoin De nos peaux à manger l'asphalte Et de soi, qu'on rejette au loin Comme on ferait le souhait D'une halle, d'une halte Au bord, au bord de l'highway Polyphonie Lumières bleues qui passent dans la nuit Amazonie Afrique Asie Les autoroutes Highway Fusils catégorie: Martin Vernescatégorie: Chanson
|