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| - Jusqu'à l'arrivée empirique de Rome en Valais, les Valaisans se fondent visuellement parmi les animaux de par leurs poils. Les historiens ont cependant trouvé, après la glaciation, d'anciennes traces de singes proches de l'orang-outang qui, selon des études plus ou moins poussées, seraient les ancêtres des Valaisans. Les Valaisannes, elles, sont d'origine plus mystérieuse. Selon certains exégètes, elles proviendraient d'un exil massif de femmes juives établies sur le Mont Sion (à Jérusalem, appelé depuis "Mur des Lamentations").
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| - Jusqu'à l'arrivée empirique de Rome en Valais, les Valaisans se fondent visuellement parmi les animaux de par leurs poils. Les historiens ont cependant trouvé, après la glaciation, d'anciennes traces de singes proches de l'orang-outang qui, selon des études plus ou moins poussées, seraient les ancêtres des Valaisans. Les Valaisannes, elles, sont d'origine plus mystérieuse. Selon certains exégètes, elles proviendraient d'un exil massif de femmes juives établies sur le Mont Sion (à Jérusalem, appelé depuis "Mur des Lamentations"). Image:Question.png Saviez-vous que... Depuis une haute antiquité, c'est chez ces femmes du Mont Sion que Moïse aimait aller boire un verre après le travail. Ce seraient donc ces femmes qui auraient introduit en Valais l'habitude d'ouvrir des estaminets à tous les coins de rue. Ces femmes du Mont Sion auraient suivi l'Exode en Égypte, mais de loin et, leur GPS étant en panne, se seraient égarées dans les Alpes. N'ayant plus rien à perdre, elles se seraient rabattues sur les Valaisans pour donner, avec eux, naissance au Peuple du Valais. La ville de Sion porte bien sûr son nom en souvenir du Mont Sion, lieu d'origine des Valaisannes. Une autre explication de l'origine des Valaisannes en fait les descendantes des Walkyries, ces vierges guerrières de la mythologie nordique et néanmoins wagnérienne. Ces femmes, qui chevauchaient des destriers ailés auraient, comme les Juives du Mont Sion, eu une panne de GPS (la technique n'était définitivement pas très fiable à cette époque) et auraient atterri au sud-ouest de la vieille ville de Sion, au lieu où, en leur honneur et à leur souvenir, on a ouvert depuis un aéroport intercommunal. Constatant avec stupeur le lieu où elles se trouvaient perdues et voyant aux alentours les valaisans, menaçants, qui les dévisageaient (sous leurs poils, pas ceux des femmes mais des valaisans), elles voulurent redécoller en toute hâte, mais c'était impossible à cause des nuisances sonores car un orchestre de Wagner au décollage des Walkyrie, ça fait du bruit et les riverains n'aiment pas. Donc elles sont restées à Sion. Les premiers jours, on les a appelées "Vierges de Sion", puis cette expression a été abandonnée étant donné que des valaisans étaient autour d'elles. La dernière explication sur l'origine des valaisannes affirme qu'elles ont été tirées des côtes des valaisans (les fameuses côtes de bête), après que ceux-ci aient été plongés dans un profond sommeil par un abus de Fendant et par l'action du Tout-Puissant (cf. Livre de la Genèse 1, 21-22). Les femmes tirées des côtes firent la course (ou leurs courses) sur les Alpes pour trouver des hommes (l'origine des fameuses courses de côte). Comme elles avaient constaté ce qui peut arriver à un homme bourré de Fendant qui s'assoupit, elles décidèrent de rester antialcooliques, ne buvant que de l'eau minérale de marque Valser. D'où leur nom de "Valser", qui fut une des importantes populations à habiter les Alpes suisses.
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