Nom par trop commun, du vieux gland : "bât" (monté comme un âne) et "tard" (arrivé après les autres) Nom commun d'une progéniture hors mariage, dont le but était de suppléer au mongolisme abscon des rejetons légitimes. Au XIXe siècle les Bat' d'Ar' étaient des bataillons disciplinaires coloniaux, improprement orthographiés "Bat d'Af". On leur doit l'apport du mot matraque en France, américanisé en matrix par les jeunes (espèce de futur vieux des pays consuméristes) afin de dénoncer l'oppression de l'État policier.
Nom par trop commun, du vieux gland : "bât" (monté comme un âne) et "tard" (arrivé après les autres) Nom commun d'une progéniture hors mariage, dont le but était de suppléer au mongolisme abscon des rejetons légitimes. Au XIXe siècle les Bat' d'Ar' étaient des bataillons disciplinaires coloniaux, improprement orthographiés "Bat d'Af". On leur doit l'apport du mot matraque en France, américanisé en matrix par les jeunes (espèce de futur vieux des pays consuméristes) afin de dénoncer l'oppression de l'État policier. Entre 1946 et 1958, entre les caves de Saint Germain des Prés et les pieds du zouave du pont de l'Alma, le Bath Art est l'art chouette ou formidable. Seul les Jack Lang emploient aujourd'hui cette expression.