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  • Peter Saul
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  • Peter Saul est un peintre américain né en 1934 à San Francisco, États-Unis. De 1950 à 1952 il fréquente la California School of Fine Arts, à San Francisco puis de 1952 à 1956 la Washington University, à St. Louis. * voir aussi [ un article illustré sur Peter Saul] En 1964, Saul retrouve San Francisco devenu le foyer de la contestation beatnick et hippy, dont il adopte les thèmes dans sa peinture qui devient une véritable arme politique : dénonciation de la guerre du Vietnam, du racisme, du confort de la société de consommation, de la condition féminine.
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  • Peter Saul est un peintre américain né en 1934 à San Francisco, États-Unis. De 1950 à 1952 il fréquente la California School of Fine Arts, à San Francisco puis de 1952 à 1956 la Washington University, à St. Louis. * voir aussi [ un article illustré sur Peter Saul] N’appartenant ni à l’expressionnisme abstrait ni au Pop Art, formé à l’école du surréalisme abstrait d’Arshile Gorky, l’artiste invente son propre langage, à partir de l’esthétique de la bande dessinée, des graffitis et des magazines populaires. Manifestant un mépris délibéré pour la mesure et le « bon goût », il transforme ces emprunts en leur infligeant des distorsions associés à un style volontairement sommaire et bâclé où abondent bavures et giclures. Il réalise alors une peinture libérée, véritable délire accumulatif, ponctuée par les onomatopées issues des BD, et dont les sujets sont volontiers pornographiques ou scatologiques. En 1962, 1963 et 1964, la présentation à Paris des œuvres de Peter Saul à la galerie Denise Breteau a fortement marqué plusieurs jeunes artistes français – tels que Eduardo Arroyo, Bernard Rancillac ou Hervé Télémaque. En 1964, Saul retrouve San Francisco devenu le foyer de la contestation beatnick et hippy, dont il adopte les thèmes dans sa peinture qui devient une véritable arme politique : dénonciation de la guerre du Vietnam, du racisme, du confort de la société de consommation, de la condition féminine. Cherchant à démonter les mécanismes de l’avant-garde, il réalise une sorte de jeu transformant Andy Warhol, Frank Stella ou Clement Greenberg en monstres de l’histoire naturelle. A partir de 1973, bousculant une fois de plus toutes les conventions, Saul met de côté la dimension politique de son travail au profit de citations de chefs-d’oeuvre de l’histoire de la peinture (Rembrandt, Delacroix, Picasso, de Kooning, Dali…).
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