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| - Les médicaments sont disponibles en pharmacie. Certains médicaments ne sont vendus que sur prescription du médecin, d'autres sont en vente libre, certains enfin peuvent être obtenus "sur demande écrite d'une personne honorablement connue". De façon à réduire les dépenses de santé, certains mécanismes ont été mis en place pour détecter les prescriptions abusives des médecins (par exemple, via le code INAMI du médecin prescripteur, qui est imprimé en code-barre sur la prescription).
- Le médicament (クスリ Kusuri) est une potion dans Link's Awakening. leftLink peut acheter un médicament ou remède secret unique auprès de Monique la Lunatique pour quarante-deux rubis (mais seulement vingt-huit rubis pour le premier achat), ou bien en trouver dans des coffres dans certains donjons du jeu. Il s'agit de la première potion à fonctionner automatiquement, car quand Link perd tous ses cœurs d'énergie, ils se remplissent directement, puis la bouteille disparaît de l'inventaire. Il peut en acheter un seul à la fois.
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| - Le médicament (クスリ Kusuri) est une potion dans Link's Awakening. leftLink peut acheter un médicament ou remède secret unique auprès de Monique la Lunatique pour quarante-deux rubis (mais seulement vingt-huit rubis pour le premier achat), ou bien en trouver dans des coffres dans certains donjons du jeu. Il s'agit de la première potion à fonctionner automatiquement, car quand Link perd tous ses cœurs d'énergie, ils se remplissent directement, puis la bouteille disparaît de l'inventaire. Il peut en acheter un seul à la fois. D'après Monique, ce médicament n'est pas conservé dans une bouteille : il est appliqué sur Link directement, ce qui explique qu'il ne puisse pas s'en servir quand il veut. Malgré tout, on peut voir le médicament dans son inventaire jusqu'à ce qu'il soit utilisé.
- Les médicaments sont disponibles en pharmacie. Certains médicaments ne sont vendus que sur prescription du médecin, d'autres sont en vente libre, certains enfin peuvent être obtenus "sur demande écrite d'une personne honorablement connue". Certains médicaments sont (partiellement) remboursables par l'assurance maladie-invalidité, d'autres ne le sont pas. Dans le cas où ils sont remboursables, le consommateur doit présenter l'ordonnance du médecin ainsi que sa propre carte SIS. Le consommateur ne paie qu'une partie, appelée le ticket modérateur, du prix du médicament. Le reste est avancé par la pharmacie, aussi appelé le tiers-payant dans ce mécanisme : elle se fait ensuite rembourser par l'organisme assureur du consommateur. De façon à réduire les dépenses de santé, certains mécanismes ont été mis en place pour détecter les prescriptions abusives des médecins (par exemple, via le code INAMI du médecin prescripteur, qui est imprimé en code-barre sur la prescription). Le principe actif d'un médicament est composé d'une (ou plusieurs) molécule : cette molécule est souvent protégée par un brevet. À l'expiration de ce brevet, d'autres fabricants peuvent produire un médicament à base de la même molécule : c'est alors un médicament générique. Les médicaments génériques sont souvent moins chers que les médicaments originaux, et sont tout aussi efficaces. Ils peuvent donc être un moyen de réduire le déficit de l'assurance maladie. Pour favoriser la prescriptions de médicaments génériques, on fait appel à ce que l'on appelle le remboursement de référence. Ce remboursment de référence est basé sur le moins cher des médicaments correspondant à une molécule (ou à une association de molécules). Le système du remboursement de référence considère que c'est à ce seul médicament qu'il faut appliquer le pourcentage de remboursement (mettons 25 %). Cela donne une différence fixe entre le "prix plein" et le ticket modérateur. Pour tous les autres médicaments contenant cette combinaison-là (forcément plus chers), l'assurance-maladie rembourse cette différence fixe. Le pourcentage d'intervention devient donc plus petit. On assiste même à la situation paradoxale que certains médicaments classés "A", c'est-à-dire 100 % remboursables (traitement de certaines maladies graves : cancer, diabète sucré, épilepsie, tuberculose, etc.) ne sont plus remboursés que partiellement du fait de l'apparition d'un médicament générique. Depuis le 1er octobre 2005 est autorisé un troisième mode de prescription : la prescription par molécule. Dans ce système, le médecin se contente d'indiquer le nom de la molécule, son dosage, le nombre d'unités (par exemple nombre de gélules). Le pharmacien n'est donc plus tenu à une marque, générique ou non, et peut donc choisir le produit qu'il fournit à son client en fonction de son prix et de sa disponibilité (cela lui évite de stocker tous les médicaments génériques).
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