Mon roman philosophique Ainsi niqua Zarathoustra (Nietzsche ta mère) s'aligne à une chronique d'œuvres subversives courant à travers les ères, dont la sonate Take me in the ass de Mozart, le poème Hymen à la fille de joie de Schiller, et ton opéra Crépu cul au Lido.
Mon roman philosophique Ainsi niqua Zarathoustra (Nietzsche ta mère) s'aligne à une chronique d'œuvres subversives courant à travers les ères, dont la sonate Take me in the ass de Mozart, le poème Hymen à la fille de joie de Schiller, et ton opéra Crépu cul au Lido. Quel est son propos ultime ? L'Homme est devenu trop raisonnable, trop civilisé, trop sérieux pour accomplir en lui le sur-enfant. Le sur-enfant n'appartient à personne, si ce n'est aux enfants qui vont le cœur léger justifier leur enfance en allongeant leur mère. Mais si l'enfant est capable d'enfance, l'homme quant à lui ne peut que l'infantilisme, à moins qu'il ne fasse rugir l'enfant qu'il a enseveli vivant en lui.