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| - Le supporter d'Anderlecht est un supporter pas comme les autres. Du haut de son ego surdimensionné, il passe sa vie à vanter les 31 titres remportés par son club en Jupiler Pro League... C'est un supporter passif, qui met "un peu d'ambiance" du moins quand son équipe joue « au football » ... Au contraire, lorsque le jeux est moins attrayant et en cas de défaite, le stade Constant Vanden Stock se transforme en véritable église ou l'on entend même les joueurs se parler sur le terrain. Gros contraste par rapport aux supporters du Standard de Liège, un club soutenu par de véritables fans, même dans les moments difficiles.
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| - Le supporter d'Anderlecht est un supporter pas comme les autres. Du haut de son ego surdimensionné, il passe sa vie à vanter les 31 titres remportés par son club en Jupiler Pro League... C'est un supporter passif, qui met "un peu d'ambiance" du moins quand son équipe joue « au football » ... Au contraire, lorsque le jeux est moins attrayant et en cas de défaite, le stade Constant Vanden Stock se transforme en véritable église ou l'on entend même les joueurs se parler sur le terrain. Gros contraste par rapport aux supporters du Standard de Liège, un club soutenu par de véritables fans, même dans les moments difficiles. Il faut tout de même admettre que lorsqu'il y a de l'ambiance, les supporters entament souvent des chants ... répétitifs et assez agaçants. Appelé également "le Vendetta", le supporter d'Anderlecht est prétentieux, à l'image des habitants de la ville de Bruxelles. Personne ne peut lui arriver à la cheville. Lors d'une défaite, le mauve quitte le stade en se disant "ce n'est pas grave nous avons remporté 31 fois le championnat de Belgique et personne ne pourra faire mieux que nous, nous sommes les meilleurs" tandis que les joueurs d'Anderlecht décident de boycotter la presse pour éviter que leur tête de mauviette rougisse face à la caméra; ce qui ferait encore plus baisser le niveau de popularité de ce club à travers le royaume. En ce qui concerne le président du club (Roger Vanden Stock), son air hautain renforce encore plus l'image négatif que les gens ont de ce club. Le Royal Sporting Club d'Anderlecht est également un club sans personnalité. En effet, ne sachant plus comment faire pour espérer réaliser un bon parcours européen, la direction décide un jour de renforcer son équipe en transférant des joueurs talentueux évoluant au Standard de Liège tel que Dieumerci Mbokani ou encore Milan Jovanovic qui ont tous deux pu atteindre les 1/4 de final de l'Europa League il y a quelques années avec les rouches. Fin 2011, l'ancien homme fort de Sclessin, Luciano D'Onofrio, a lui aussi été contacté par la direction anderlechtoise, il était proche d'une collaboration avec Anderlecht pour "travailler de façon privilégiée sur les transferts du club." Pas avec une fonction officielle cependant, le conseil du club s'y étant vivement opposé. Un manque de considération aux yeux du petit Italo-belge qui avait alors renoncé à l'affaire. En juillet 2012, l'ivoirien Gohi Bi Cyriac, jouant au post d'attaquant au Standard De Liège, signe à Anderlecht. Le RSCA ne s'arrêtera pas là, en effet, en octobre 2012, Carcela, l'un des anciens chouchou de Sclessin, évoluant désormais au club russe d’Anzhi Makhachkala, avoue, dans une interview de la "Dernière Heure" avoir été contacté par le club Bruxellois.
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