Jadis, les Turcs étaient accueillis à bras ouvert, car ils avaient tous un Turc à partager et un petit quelque chose de spécial à donner. On se rappelle bien sur du café Turc, des danses Turques, de Turk et De Groot et tout un tas d'autres trucs. Les Turcs étaient donc libre d'aller venir et revenir où bon leur semblait à condition que ce soit pas trop près de ma femme quand même faut pas déconner avec ça.
Jadis, les Turcs étaient accueillis à bras ouvert, car ils avaient tous un Turc à partager et un petit quelque chose de spécial à donner. On se rappelle bien sur du café Turc, des danses Turques, de Turk et De Groot et tout un tas d'autres trucs. Les Turcs étaient donc libre d'aller venir et revenir où bon leur semblait à condition que ce soit pas trop près de ma femme quand même faut pas déconner avec ça. Puis avec la mondialisation le coup du Machin est devenu tellement bas que plus personne ne voulait de Turc chez lui. Hop fini la glorieuse époque ou des hommes en babouches portaient à dos de ver à soie les mathématiques et la culture orientale dans une Europe moribonde. Le Turc étant devenu non indispensable est très vite devenu le bouc émissaire (Notons à se sujet que les émissaires Turcs possédaient de très beau boucs, de magnifiques chèvres et de fort jolies têtes). En quelque temps il a donc fallu mettre tout ce beau monde dehors, hop fissa! Et ainsi commença les longues campagnes de têtedeturquisation. Le turc étant mauvais combustible et difficilement catapultable par lot de plus de trois, on préféra renvoyer les Turcs loin de chez nous (chez eux parrait il mais qui sait) en charters.