La mémoire tampon était un élément clef des systèmes de téléportation. Elle servait à stocker temporairement le flux de matière suite à la dématérialistion du sujet, avant que le flux ne soit expédié aux coordonnées de destination. Cette opération était nécessaire afin de compenser les mouvements relatifs du téléporteur et de la cible. Stocker provisoirement le flux de matière permettait aux compensateurs Doppler d'ajuster le scanner de visée. A bord des vaisseaux de classe Galaxy, la mémoire tampon était placée juste sous le plot de téléportation (TNG: "The Mind's Eye").
La mémoire tampon était un élément clef des systèmes de téléportation. Elle servait à stocker temporairement le flux de matière suite à la dématérialistion du sujet, avant que le flux ne soit expédié aux coordonnées de destination. Cette opération était nécessaire afin de compenser les mouvements relatifs du téléporteur et de la cible. Stocker provisoirement le flux de matière permettait aux compensateurs Doppler d'ajuster le scanner de visée. Un flux de matière ne pouvait pas être stocké indéfiniment dans une mémoire tampon. Après 420 secondes, le schéma moléculaire se dégradait et le sujet était perdu (TNG: "Relics"). Il était également possible de transférer un schéma moléculaire d'une mémoire tampon à une autre en "ciblant" la mémoire du téléporteur d'origine (VOY: "Future's End, Part II"). Afin d'éviter les cas de psychose de la téléportation, les téléporteurs de la Fédération étaient équipés de mémoires tampons multiplexes (TNG: "Realm of Fear"). A bord des vaisseaux de classe Galaxy, la mémoire tampon était placée juste sous le plot de téléportation (TNG: "The Mind's Eye"). Les mémoires tampons des vaisseaux de classe Intrepid réalisaient un scan microcellulaire à chaque utilisation (VOY: "Favorite Son").