Les moteurs supraluminiques (SLM) utilisent des propulseurs à élément zéro pour limiter la masse de l'appareil et ainsi améliorer l'accélération. Ce procédé permet de dépasser la vitesse de la lumière dans le champ gravitationnel ; il est alors possible de voyager à vitesse élevée avec une dilatation temporelle négligeable. Si le champ gravitationnel cède à une vitesse supraluminique, la catastrophe est inévitable : l'appareil revient brutalement à une vitesse subluminique et l'énorme quantité d'énergie excédentaire provoque un rayonnement Cerenkov fatal.
Les moteurs supraluminiques (SLM) utilisent des propulseurs à élément zéro pour limiter la masse de l'appareil et ainsi améliorer l'accélération. Ce procédé permet de dépasser la vitesse de la lumière dans le champ gravitationnel ; il est alors possible de voyager à vitesse élevée avec une dilatation temporelle négligeable. En plus du moteur SLM, un vaisseau stellaire nécessite des propulseurs conventionnels (moteur-fusée à propulsion chimique, propulseur à fusion commercial, moteur à ion économique ou propulseur antiproton militaire). Sans propulsion subluminique, un vaisseau n'aurait en effet aucune puissance motrice. Les quantités d'ézo et d'énergie requises par un moteur augmentent de façon exponentielle en fonction de la masse déplacée et de "l'allègement" que l'appareil subit. Équiper un vaisseau très massif pour qu'il puisse atteindre des vitesses très élevées s'avère extraordinairement coûteux. Si le champ gravitationnel cède à une vitesse supraluminique, la catastrophe est inévitable : l'appareil revient brutalement à une vitesse subluminique et l'énorme quantité d'énergie excédentaire provoque un rayonnement Cerenkov fatal.