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| - Dans le Quartier du Temple de Wyzima, s'il est bien un personnage sur qui plane tous les mystères, c'est bien le Boucanier. C'est un homme plus grand que la moyenne, la peau burinée et marquée de multiples cicatrices témoins des rixes qui font son quotidien. Ce visage, à moitié dissimulé derrière un col de cuir qui lui remonte jusqu'au nez, zébré d'un bandeau qui lui masque son œil droit mort, est des plus difficiles à entrevoir, sauf quelques fois, la nuit venue, dans l'arrière salle de la Taverne de l'Ours poilu, en pleine conversion d'affaire avec un individu louche répondant au nom de Coleman. Le Boucanier a une maison dans le quartier, non loin de l'établissement Les cuisses brûlantes, mais le seuil de sa porte est infranchissable, deux colosses sur-armés y montent la garde.
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| - Dans le Quartier du Temple de Wyzima, s'il est bien un personnage sur qui plane tous les mystères, c'est bien le Boucanier. C'est un homme plus grand que la moyenne, la peau burinée et marquée de multiples cicatrices témoins des rixes qui font son quotidien. Ce visage, à moitié dissimulé derrière un col de cuir qui lui remonte jusqu'au nez, zébré d'un bandeau qui lui masque son œil droit mort, est des plus difficiles à entrevoir, sauf quelques fois, la nuit venue, dans l'arrière salle de la Taverne de l'Ours poilu, en pleine conversion d'affaire avec un individu louche répondant au nom de Coleman. Le Boucanier a une maison dans le quartier, non loin de l'établissement Les cuisses brûlantes, mais le seuil de sa porte est infranchissable, deux colosses sur-armés y montent la garde. Le Boucanier est le patron du quartier du temple, chef d'une bande de malfrats prêts à en découdre sur un mot de lui. L'Ordre de la Rose-Ardente comme la garde de Wyzima ne semblent guère s'intéresser à ses agissements illégaux. Peut-être le Boucanier sait-il y faire, par quelques pots de vins aux bonnes personnes, ou quelques chantages. Il se dit même qu'il entretiendrait des relations avec la salamandre sans que cela n'émeuve quiconque. Si vous parler avec le boucanier, soyez respectueux et ne cherchez pas à faire de l'humour, de sa voix grave et monocorde, il saura vous adresser la réplique à glacer l'atmosphère. Méfiance donc, d'autant plus que ces gardes du corps ne le quitte jamais et ont faim de rougir les pointes de leurs masses lourdes.
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