"Vulgarit\u00E9"@fr . "La vulgarit\u00E9 est un principe fondamental. En effet il y a bien longtemps, lorsqu'on \u00E9crivit la Constitution : on s'inspira de philosophes, les Fr\u00E8res Lumi\u00E8re. Jacques Rousseau affirmait que la soci\u00E9t\u00E9 devait avant tout garantir aux individus la libert\u00E9 et l'\u00E9galit\u00E9 ; on chercha ensuite un 3eme principe qualifiant bien le peuple fran\u00E7ais. Comme le roi restait \u00E0 longueur de temps dans sa chambre, \u00E9coutant ses violonistes jouer pour lui (de nos jours les violonistes ont laiss\u00E9 place aux bassistes, fid\u00E8les serviteurs des ados boutonneux adorateurs de m\u00E9tal et hard rock), il ne connaisait gu\u00E8re son peuple, et se fichait pas mal de la R\u00E9volution et toutes ses \"conneries\", il avait deja en t\u00EAte de fuguer, parce qu'il en avait marre, que c'\u00E9tait pas juste, que personne ne l'aimait, qu'il s'en batt"@fr . . . "La vulgarit\u00E9 est un principe fondamental. En effet il y a bien longtemps, lorsqu'on \u00E9crivit la Constitution : on s'inspira de philosophes, les Fr\u00E8res Lumi\u00E8re. Jacques Rousseau affirmait que la soci\u00E9t\u00E9 devait avant tout garantir aux individus la libert\u00E9 et l'\u00E9galit\u00E9 ; on chercha ensuite un 3eme principe qualifiant bien le peuple fran\u00E7ais. Comme le roi restait \u00E0 longueur de temps dans sa chambre, \u00E9coutant ses violonistes jouer pour lui (de nos jours les violonistes ont laiss\u00E9 place aux bassistes, fid\u00E8les serviteurs des ados boutonneux adorateurs de m\u00E9tal et hard rock), il ne connaisait gu\u00E8re son peuple, et se fichait pas mal de la R\u00E9volution et toutes ses \"conneries\", il avait deja en t\u00EAte de fuguer, parce qu'il en avait marre, que c'\u00E9tait pas juste, que personne ne l'aimait, qu'il s'en battait les couilles de toutes fa\u00E7ons parce qu'il avait plein de potes \u00E0 l'\u00E9tranger qui vont casser la gueule aux vilains Fran\u00E7ais... Face aux caprices de cet attard\u00E9, les parlements (anc\u00EAtres des \"parents\") decid\u00E8rent de le priver de violonistes pendant 2h, et l'obligerent \u00E0 sortir pour mieux connaitre son peuple, et trouver le fameux 3\u00E8me principe ! Le roi se rendit compte que les Fran\u00E7ais lui ressemblait un peu, ils parlaient le m\u00EAme language, avaient les m\u00EAmes go\u00FBts... Mais trop anxieux d'\u00EAtre de nouveau puni, le roi joua la carte du l\u00E8che-cul et lan\u00E7a aux parlements \u00E0 son retour : Mon Dieu ! Quelle Vulgarit\u00E9 !!! Et c'est ainsi que pendant quelques heures, on p\u00FBt lire en haut de la constitution : libert\u00E9 \u00E9galit\u00E9 vulgarit\u00E9 Pr\u00E9cisons que ce jour l\u00E0 , les membres des parlement avaient bien arros\u00E9 la soir\u00E9e comme tous les vendredis soir, et du coup ils ont laiss\u00E9 passer une des plus grosses conneries de l'Histoire (ou sottise pour ne pas etre vulgaire...). Heureusement, un d'eux n'avait pas \u00E9t\u00E9 invit\u00E9 \u00E0 l'apero, un homme de petite taille, plutot intelligent, mais qui \u00E9tait le vilain petit canard des parlements... Le petit n'\u00E9tait jamais invit\u00E9, et du coup est arriv\u00E9 apr\u00E8s la \"sottise\", il a tout de suite r\u00E9agi, et modifi\u00E9 \"vulgarit\u00E9\" en \"fraternit\u00E9\". On apprit plus tard que le petit s'appelait Napol\u00E9on, le futur chancelier. Cette belle anecdote nous d\u00E9montre qu'une fois de plus :"@fr .