"Nicole Klein"@fr . . . . . . "Nicole Klein, n\u00E9e le 29 f\u00E9vrier 1952 \u00E0 Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine, \u00CEle-de-France), est un haut fonctionnaire fran\u00E7ais. Son parcours est atypique. Elle d\u00E9bute comme documentaliste \u00E0 la Documentation fran\u00E7aise puis elle passe et progresse au sein de la pr\u00E9fectorale. Elle alterne ensuite selon les partis au pouvoir entre, d'une part, des fonctions en minist\u00E8re, tout d'abord dans la culture et la communication, puis dans la construction et, d'autre part, des fonctions en r\u00E9gion. Elle dirige en particulier la mise en place d\u2019une nouvelle structure dans le domaine de la Sant\u00E9, les Agences r\u00E9gionales de sant\u00E9 (ARS), en Aquitaine et g\u00E8re \u00E0 ce titre une crise sanitaire majeure provoqu\u00E9e la bact\u00E9rie Escherichia coli, qui fait la Une de l\u2019ensemble des m\u00E9dias. Revenue en \u00CEle-de-France, comme pr\u00E9fet de Seine-et-Marne, elle est \u00E9galement sollicit\u00E9e par le ministre Fran\u00E7ois Lamy pour participer \u00E0 la red\u00E9finition de la politique de la ville."@fr . . "Nicole Klein, n\u00E9e le 29 f\u00E9vrier 1952 \u00E0 Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine, \u00CEle-de-France), est un haut fonctionnaire fran\u00E7ais. Son parcours est atypique. Elle d\u00E9bute comme documentaliste \u00E0 la Documentation fran\u00E7aise puis elle passe et progresse au sein de la pr\u00E9fectorale. Elle alterne ensuite selon les partis au pouvoir entre, d'une part, des fonctions en minist\u00E8re, tout d'abord dans la culture et la communication, puis dans la construction et, d'autre part, des fonctions en r\u00E9gion. Elle dirige en particulier la mise en place d\u2019une nouvelle structure dans le domaine de la Sant\u00E9, les Agences r\u00E9gionales de sant\u00E9 (ARS), en Aquitaine et g\u00E8re \u00E0 ce titre une crise sanitaire majeure provoqu\u00E9e la bact\u00E9rie Escherichia coli, qui fait la Une de l\u2019ensemble des m\u00E9dias. Revenue en \u00CEle-de-France, comme"@fr . . . . .