"Assurance longue vie"@fr . . . . "Le concept d'assurance longue vie part d'observations selon lesquelles : 1. \n* L'assurance longue mort constitue un non-sens, \u00E9tant donn\u00E9 que la mort ne peut \u00EAtre quantifi\u00E9e ou temporis\u00E9e dans sa qualit\u00E9 d'absolu, et donc ne peut \u00EAtre longue ou courte. 2. \n* L'assurance-vie comporte une dimension de fatalit\u00E9 et de r\u00E9signation morbide devant l'horizon de la mort, condamn\u00E9e dans son principe m\u00EAme par une \u00E9chelle de paliers fiscaux d\u00E9finis sur l'anciennet\u00E9 du contrat, de sorte qu'\u00E0 partir d'un ultime palier, les avantages fiscaux (d\u00E9taxation des produits des primes) sont d\u00E9finitivement major\u00E9s jusqu'\u00E0 la mort du souscripteurs. L'impossibilit\u00E9 d'avantager les avantages acquis n'incite plus \u00E0 vivre. En se basant sur un profil d'esp\u00E9rance de vie moyen pour \u00E9tablir ses paliers, le contrat d'assurance-vie s\u00E8me une confusion malvenue par rapport \u00E0 un contrat \u00E9lixir de jouvence, car il postule une conception irr\u00E9m\u00E9diablement, et m\u00EAme consensuellement, finie de la vie dans son principe de solvabilit\u00E9 lui-m\u00EAme. Ce tableau morbide se retrouve significativement dans les param\u00E8tres du r\u00E9gime successoral dont le contrat d'assurance-vie ouvre les droits : plus le souscripteur meurt t\u00F4t (avant 70 ans), plus ses \"b\u00E9n\u00E9ficiaires\" jouissent de l'exon\u00E9ration des capitaux transmis."@fr . . . "Le concept d'assurance longue vie part d'observations selon lesquelles : 1. \n* L'assurance longue mort constitue un non-sens, \u00E9tant donn\u00E9 que la mort ne peut \u00EAtre quantifi\u00E9e ou temporis\u00E9e dans sa qualit\u00E9 d'absolu, et donc ne peut \u00EAtre longue ou courte. 2. \n* L'assurance-vie comporte une dimension de fatalit\u00E9 et de r\u00E9signation morbide devant l'horizon de la mort, condamn\u00E9e dans son principe m\u00EAme par une \u00E9chelle de paliers fiscaux d\u00E9finis sur l'anciennet\u00E9 du contrat, de sorte qu'\u00E0 partir d'un ultime palier, les avantages fiscaux (d\u00E9taxation des produits des primes) sont d\u00E9finitivement major\u00E9s jusqu'\u00E0 la mort du souscripteurs. L'impossibilit\u00E9 d'avantager les avantages acquis n'incite plus \u00E0 vivre. En se basant sur un profil d'esp\u00E9rance de vie moyen pour \u00E9tablir ses paliers, le contrat d"@fr . .