. "Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : D'Oh ! \n* Barge Smith'Son, la m\u00E8re. Toxicomane et prostitu\u00E9e, Barge est impr\u00E9visible. Dans l'\u00E9pisode 5 de la Saison 17, une satire sur le monde du travail et la hi\u00E9rarchie sociale, elle devient maquerelle et vendeuse de crack, prouvant \u00E0 tous qu'elle est aussi comp\u00E9tente qu'un homme. Cela d\u00E9pla\u00EEt \u00E0 Ulysse, qui lui casse une jambe. C'est \u00E9galement une \u00E9pouse aimante et une m\u00E8re attentionn\u00E9e envers sa prog\u00E9niture. Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Hmmmmeee... Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Eat my shorts (?) Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Mais c'est horrible."@fr . . . . "Pendant ce temps, en Serbo-Tchonquie."@fr . . . . "Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : D'Oh ! \n* Barge Smith'Son, la m\u00E8re. Toxicomane et prostitu\u00E9e, Barge est impr\u00E9visible. Dans l'\u00E9pisode 5 de la Saison 17, une satire sur le monde du travail et la hi\u00E9rarchie sociale, elle devient maquerelle et vendeuse de crack, prouvant \u00E0 tous qu'elle est aussi comp\u00E9tente qu'un homme. Cela d\u00E9pla\u00EEt \u00E0 Ulysse, qui lui casse une jambe. C'est \u00E9galement une \u00E9pouse aimante et une m\u00E8re attentionn\u00E9e envers sa prog\u00E9niture. Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Hmmmmeee... \n* Fart, le fils. Fart est absent de la Saison 23 car il est retenu prisonnier en Serbo-Tchonquie pour divers motifs d'inculpation. Ulysse a refus\u00E9 de payer sa caution. Personne ne peut dire quand le petit Fart r\u00E9appara\u00EEtra dans la s\u00E9rie. Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Eat my shorts (?) \n* Sally, la fille. D\u00E9g\u00E9n\u00E9r\u00E9e et r\u00E9actionnaire, Sally est la tache de la famille. Certains \u00E9pisodes sous-entendent m\u00EAme qu'elle serait v\u00E9g\u00E9tarienne. Expression pr\u00E9f\u00E9r\u00E9e : Mais c'est horrible. \n* Baggy, le b\u00E9b\u00E9. Tireuse d'\u00E9lite, Baggy a failli tuer le patron d'Ulysse avec un fusil de sniper. Le reste du temps, Baggy bave, tra\u00EEne dans la maison et fait des rots comme le reste de la famille."@fr . . . . "Le petit Fart passa une main \u00E0 travers la fen\u00EAtre de sa cellule, tentant d'attraper un peu de soleil et du chant des oiseaux au-dehors. Puis il serra les barreaux jusqu'\u00E0 ce que sa vision se trouble. Il leva les yeux et regarda le lit \u00E0 quelques pas de lui. Il pouvait s'y allonger. Mais \u00E9tait-ce utile ? \u00C0 quoi bon ? Pourquoi se donner la peine d'aller d'ici \u00E0 l\u00E0-bas ? Pourquoi ? Rien que pour s'allonger sous les couvertures ? \u00C0 quoi bon ? Il faudrait se relever t\u00F4t ou tard. Alors pourquoi pas rester contre le mur ? Y congeler. P\u00E9trifier. Devenir une saloperie de statue. Quelle importance ? L\u00E0. Ici. N'importe o\u00F9. Seule la position est diff\u00E9rente. Appuy\u00E9 ici. Allong\u00E9 l\u00E0. Et apr\u00E8s ? Tout n'est rien. D\u00E9barrasse-toi des n\u0153uds dans tes entrailles. Tire-les de toi. Remets-les dans ton corps. Ouais. Dedans dehors. Dedans DEHORS. Putain. Qu'est-ce que \u00E7a peut foutre. Tout \u00E7a c'est des conneries. Toujours les m\u00EAmes vieilles conneries qui se r\u00E9p\u00E8tent. Boire et pisser, manger et chier. Dormir et se r\u00E9veiller. Il se demanda s'il n'\u00E9tait pas en train de devenir fou. Non. Ce sont les autres qui sont fous de l'avoir enferm\u00E9 ici. Saloperie de soci\u00E9t\u00E9 de tar\u00E9s. On devrait tous les condamner, ces enflures qui se congratulent entre eux. Et quand les Jivaros de la psychiatrie auront fini de ratatiner les t\u00EAtes de ces pines ambulantes, ils ne reconna\u00EEtront plus l'envers de l'endroit ni le haut du bas. On devrait les enfermer dans la cellule \u00E0 c\u00F4t\u00E9 de la mienne, pour qu'ils m'entendent pleurer et g\u00E9mir nuit et jour. Au bout de quelque temps, ils grimperont le long du mur. Oui. Hahahahahaahaahahahahaaha un mur capitonn\u00E9 Hahhaahahahahahah ahaahahahahahahahahha... Ha. En moins de deux ces fils de putes se sauteront \u00E0 la gorge. Comme un rat saute sur un chien. Comme un pi\u00E8ge se referme sur un serpent. Oui, les putains de serpents. Putains de serpents pourris. Et ils auront leur compte - la porte de la cellule s'ouvrit \u00E0 grand bruit, il sortit et s'engagea dans le couloir - oui ils auront leur compte, les culs pourris de v\u00E9role.\n\n\u266B\u266A\u266BAllons, allons enfants de la pu-tain de Pa-tri-i-euuu...\u266B\n\net entra au r\u00E9fectoire et prit sa place dans la file et avan\u00E7a lentement dans la file avec les autres\n\nLe Jour de Gloire est arriv\u00E9-\u00E9-\u00E9-euuu...\u266B\u266A\n\net il prit un plateau et des couverts et passa devant les distributeurs de plats puis alla \u00E0 une place libre, y posa son plateau sur la table, s'assit et mangea sa ration\n\n\u266B\u266A\u266B Contre nous de la Ty-ra-nni-euuuu... L'\u00E9tendard san-glant est leu-v\u00E9\u00E9\u00E9\u00E9\u00E9...\u266B\u266A\u266B\u266A\n\nH\u00E9h\u00E9h\u00E9\u00E9h\u00E9h\u00E9h\u00E9\u00E9h\u00E9\u00E9h\u00E9\u00E9\u00E9\u00E9\u00E9\u00E9...."@fr . . "De se la toucher devant un dessin anim\u00E9"@fr . . . "Allez ! Une derni\u00E8re en bonus..."@fr .